Illustration d'un oiseau survolant un navire lors d'un des 7 voyages à Sindbad le Marin.

La structure narrative des 7 voyages de Sindbad le Marin

  1. Le Voyage Imaginaire : l’exploration des mondes
  2. La structure narrative des 7 voyages de Sindbad le Marin
  3. Sindbad : la rhétorique de la vraisemblance
  4. Le Merveilleux, le Fantastique, et le Mythe dans Sindbad le Marin
  5. Jules Verne : Voyages au Cœur de l’Extraordinaire
  6. L’impact de l’illustration dans l’imaginaire vernien
  7. Géodésiques de la Terre et du Ciel
  8. Jules Verne et ses illustrateurs : une collaboration unique
  9. Jules Verne : les légendes sous les images
  10. Voyage au Centre de la Terre et Monde Perdu

Dans le vaste océan des contes des “Mille et Une Nuits”, les voyages de Sindbad le Marin se distinguent comme des joyaux de la narration, des aventures qui dépassent les limites du monde connu pour plonger dans l’extraordinaire.

L’histoire de Sindbad, un marin audacieux et insatiablement curieux, est plus qu’une simple suite d’aventures exotiques; elle représente une exploration méticuleuse de la structure narrative, riche en symboles et en leçons ésotériques. Cette analyse s’attache à dévoiler les couches complexes de ces récits, révélant comment chaque voyage de Sindbad contribue à une saga plus vaste, non seulement en termes d’histoires captivantes mais aussi en tant que réflexion profonde sur la nature humaine et sa quête incessante de sens.

Les voyages de Sindbad ne sont pas de simples escapades maritimes; ils sont des métaphores de la vie, des périples initiatiques qui tracent la courbe de la croissance personnelle et de la quête spirituelle. À travers ces aventures, nous explorons les thèmes de la découverte de soi, de la survie contre des forces implacables, et de la poursuite inlassable de la richesse tant matérielle que spirituelle. Chaque voyage de Sindbad est une pierre angulaire dans la construction d’un récit épique, tissé avec des fils de symbolisme zodiacal, d’oppositions entre le ciel et la terre, et d’une quête ésotérique qui va bien au-delà des trésors terrestres.

Plongeons dans l’analyse de cette épopée fascinante, en mettant en lumière comment chaque aventure de Sindbad s’entrelace pour former un tapis riche et coloré d’histoires, de symboles et de leçons de vie. En examinant les nuances de ces récits, nous découvrons non seulement le génie narratif derrière ces contes classiques, mais aussi leur pertinence perpétuelle dans notre quête collective de compréhension et de sens dans un monde complexe et en constante évolution.

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An image capturing the exploration of a man in a boat against the backdrop of stars, creating a Voyage Imaginaire.

Le Voyage Imaginaire : l’exploration des mondes

  1. Le Voyage Imaginaire : l’exploration des mondes
  2. La structure narrative des 7 voyages de Sindbad le Marin
  3. Sindbad : la rhétorique de la vraisemblance
  4. Le Merveilleux, le Fantastique, et le Mythe dans Sindbad le Marin
  5. Jules Verne : Voyages au Cœur de l’Extraordinaire
  6. L’impact de l’illustration dans l’imaginaire vernien
  7. Géodésiques de la Terre et du Ciel
  8. Jules Verne et ses illustrateurs : une collaboration unique
  9. Jules Verne : les légendes sous les images
  10. Voyage au Centre de la Terre et Monde Perdu

Dans l’immense paysage de la littérature et de la culture, le voyage imaginaire se distingue comme un domaine fascinant, entrelaçant des récits qui naviguent au-delà des frontières du réel et de l’imaginaire. Cet élément intemporel, évoluant à travers les époques, s’inscrit profondément dans notre patrimoine culturel, reflétant nos rêves, nos peurs et nos désirs les plus intimes.

Cet article vise à explorer la symbiose entre les voyages imaginaires et les réalités qu’ils recèlent, telle qu’elle se manifeste dans divers récits à travers cultures et époques. Nous nous plongerons dans l’histoire de ce concept, en retraçant ses origines des traditions orales aux textes anciens, jetant les bases des interprétations modernes.

Le concept du voyage imaginaire a évolué depuis ses débuts dans les traditions orales, où il servait de vecteur à la transmission des valeurs et des croyances. En remontant aux racines de ces narrations, on découvre comment les textes anciens ont posé les jalons des interprétations modernes. Cette perspective historique révèle l’importance et la permanence de ces récits dans notre héritage culturel.

Les œuvres telles que “Les Mille et une nuits” et “L’Odyssée” illustrent de manière frappante la dualité des voyages imaginaires. Elles offrent différentes couches de compréhension pour les enfants et les adultes, mélangeant le réel et l’imaginaire. Ces récits mettent en lumière comment la réalité et la fiction peuvent coexister, enrichissant notre interprétation du monde et de notre place en son sein.

La tradition orale, souvent négligée au XVIIIe siècle au profit de la littérature écrite, a joué un rôle crucial dans la transmission des histoires et contes qui éveillent notre imagination. C’est cette tradition qui a précédé l’écriture, conservant des récits qui se retrouvent dans des cultures diverses, démontrant des parallélismes structuraux et des univers imaginaires similaires.

Les contes, tels que “Les Mille et une nuits”, servent à la fois un public d’enfants et d’adultes, offrant plusieurs niveaux de lecture. Ces histoires transmettent des messages universels, en dépit de leur apparence souvent enfantine ou fantastique. Des œuvres comme “Le Petit Prince”, “Les Voyages de Gulliver”, “Gargantua”, ainsi que “l’Iliade” et “L’Odyssée”, illustrent cette capacité des grands récits imaginaires à intégrer des éléments de réalité, captivant ainsi un large spectre d’audience sans exclure les enfants.

Les récits imaginaires ne sont pas seulement des sources de divertissement, mais aussi de puissants outils pédagogiques. Des œuvres comme “Pinocchio” et “Peter Pan” ne sont pas de simples contes pour enfants, mais portent en eux des leçons profondes sur la vie, la croissance et les défis universels. L’endurance de ces histoires à travers le temps soulève la question de leur universalité et de leur capacité à enseigner des leçons intemporelles.

En conclusion, cet article se propose d’analyser en détail ces récits imaginaires, explorant comment ils reflètent et influencent notre compréhension du monde. Cette exploration nous permettra de mieux saisir comment ces histoires façonnent notre voyage à travers la vie, nous offrant des perspectives uniques sur notre réalité et notre identité culturelle.

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Questions d'orthographe :

Questions d’orthographe : “1,9 gramme” ou “1,9 grammes” ? “moins de deux heures suffira” ou “moins de deux heures suffiront” ?

L’autre soir, tranquillement installés dans le canapé au coin du feu, nous dégustions un bon plateau de fromage et prenions connaissance des résultats de cette vie politique actuellement tourmentée, lorsqu’une question d’orthographe pour le moins brûlante a interrompu notre bouchée de Maroilles.

Faut-il donc écrire : “1,5 million” ou “1,5 millions” ? “1,9 gramme” ou “1,9 grammes” ?

“1,9 gramme” ou “1,9 grammes” ?

Puisque, concernant ce sujet, les articles sont quasiment inexistants sur le web et les grammaires peu prolixes, j’ai compris qu’il était grand temps d’élucider ce mystère.

J’ai sorti mon ultime outil, mon bon vieux livre vert de grammaire* qui fait plus d’un millier de pages en papier à cigarettes avec de tout petits petits caractères.

Je dois écrire ici que je suis extrêmement et paradoxalement attachée à ce livre vert de grammaire qui fut le bourreau de mes nuits durant deux années de préparation au CAPES puis à l’Agrégation.

J’ai consacré un nombre d’heures infini à m’efforcer de comprendre puis d’engloutir ce millier de pages qui recense et finalement, expose l’implacable logique de toutes les subtilités offrant toute leur saveur à la langue française.

J’aime donc intimement ressortir ce bon vieux livre vert de grammaire de mon étagère, qui me fait revivre ces moments d’intense concentration finalement couronnés par la satisfaction d’avoir progressé, ne serait-ce que très humblement.

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Wanderer above the Sea of Fog, an oil painting composed in 1818 by the German Romantic artist Caspar David Friedrich

The 19th Century : Romanticism in Art and Literature

  1. The 18th Century: the Age of Enlightenment
  2. The Gothic and the Fantastic
  3. The 19th Century : Romanticism in Art and Literature
  4. English Romanticism (1798-1832)
  5. 19th Century Literary Movements : Realism and Naturalism
  6. British Civilisation and Literature: 19th and 20th centuries

Definition of Romanticism

Romanticism (also the Romantic era or the Romantic period) is an artistic, literary, and intellectual movement that originated in Europe toward the end of the 18th century and was at its peak in the approximate period from 1800 to 1850.

Romanticism is characterized by its emphasis on emotion and individualism as well as glorification of all the past and nature, preferring the medieval rather than the classical. It is a reaction to the ideas of the Industrial Revolution, the aristocratic social and political norms of the Age of Enlightenment, and the scientific rationalization of nature.

The meaning of romanticism has changed with time. In the 17th century, “romantic” meant imaginative or fictitious due to the birth of a new literary genre: the novel. Novels, that is to say, texts of fiction, were written in vernacular (romance languages), as opposed to religious texts written in Latin.

In the 18th century, romanticism was eclipsed by the Age of Enlightenment, where everything is perceived through the prism of science and reason.

In the 19th century, “romantic” means sentimental: lyricism and the expression of personal emotions are emphasized. Feelings and sentiments are very much present in romantic works.

Thus, so many things are called romantic that it is difficult to see the common points between the novels by Victor Hugo, the paintings by Eugène Delacroix or the music by Ludwig Von Beethoven.

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The Gothic and the Fantastic photo

The Gothic and the Fantastic

  1. The 18th Century: the Age of Enlightenment
  2. The Gothic and the Fantastic
  3. The 19th Century : Romanticism in Art and Literature
  4. English Romanticism (1798-1832)
  5. 19th Century Literary Movements : Realism and Naturalism
  6. British Civilisation and Literature: 19th and 20th centuries

The Gothic and the Fantastic are two literary genres both related and different.

A genre can characterize many types of literature such as poetry, drama, or the novel. It is a specific type of writing, that obeys several rules or is recognizable through several themes or structural elements like suspense, plot, or characters.

I. Definitions of the Gothic

The Gothic is the ancestor of the modern horror stories. It is based on the bizarre, the macabre and the supernatural, and it very often deals with aberrant psychological states (terror, fear, anxiety). The setting could typically be a dark castle or church at night…

1. The Sublime

The Sublime is the concept developed by Edmund Burke in On the Sublime and the Beautiful (1757) which is based on two principles:

1. Beauty is small, smooth, not angular but curved, clear, light and delicate, with harmony in proportions. It is something rather feminine, with human proportions, based on pleasure.

2. The sublime is great, rugged, straight and angular, dark and massive. It is rather masculine, and inhuman because too vast, excessive and powerful for man, based on pain.

There is a dialectic like Eros (love and pleasure) and Thanatos (pain and death): these two elements, both opposed and complementary, structured the mentalities and the mental productions of the 19th century.

It is also related to primitivism as neoclassicism expressed harmony in proportions (beauty) while the revival of the Gothic was about the sublime, based on pre-Christian religions, legends, superstitions and the Middle Ages.

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Questions d’orthographe: écrit-on

Questions d’orthographe: écrit-on “Elles se sont succédées” ou “elles se sont succédé”?

Il arrive fréquemment que l’on me pose cette question : “elles se sont succédées” ou “elles se sont succédé”?

Une question épineuse, dont la réponse est surprenante… alors je vous propose un petit point grammaire.

L’accord correct

C’est : “elles se sont succédé”.

La règle

L’exemple présenté fait partie des verbes pronominaux : ce sont des verbes qui se construisent avec “se”, pronom qui renvoie au sujet de la phrase.

Par exemple, dans “Jean se regarde” : Jean regarde quoi ? -> “se”, c’est-à-dire lui-même. Même exemple dans “Je me maquille”, “Ils se coiffent”, “Nous nous parlons”, etc.

Comment savoir si le participe s’accorde ou non ? Tout dépend de la construction du verbe :

1. Le participe passé s’accorde avec le sujet de la phrase

Si le verbe se construit avec un COD, dans ce cas, le pronom “se, me, te…” est COD du verbe, c’est-à-dire répond à la question QUOI / QUI ?

Par exemple, “Je me suis coiffée” : j’ai coiffé QUI ? -> me, c’est-à-dire moi. Autre exemple, “Elles se sont lavées”: Elles ont lavé QUI ? -> Se, c’est-à-dire elles-mêmes.

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Questions d'orthographe : écrit-on :

Questions d’orthographe : écrit-on : “les pommes que j’ai mangées” ou “les pommes que j’ai mangé”?

applebook

Aujourd’hui, dans Questions d’orthographe, nous allons nous intéresser à l’accord du participe passé.

L’accord correct

C’est “les pommes que j’ai mangées“.

La règle

Cette phrase interroge sur l’accord du participe passé :

Mini-rappel pour ceux à qui ce terme paraît flou : le participe passé est cette forme du verbe qui sert, à l’aide de l’auxiliaire être ou avoir, à former les temps composés des verbes.

Par exemple, dans “j’ai mangé”: “j” est le sujet, “ai” est l’auxiliaire avoir et “mangé” est le participe passé du verbe manger.

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trombonnes de couleurs variées

Questions d’orthographe : dit-on “des pièces ci-joint” ou “des pièces ci-jointes” ?

Au cours d’un déjeuner avec Jac, on en est venus à parler grammaire et nous avons évoqué ce problème récurrent qui se pose souvent lorsque l’on écrit un mail : doit-on écrire des pièces”ci-joint” ou “ci-jointes” lorsque l’on attache des fichiers ?

Alors, voici la règle pour savoir quand on doit l’accorder.

1. “Ci-joint” reste invariable :

Si votre phrase commence par “ci-joint” : (par exemple : “ci-joint ces documents”). Dans ce cas, “ci-joint” est comparable à “il y a” (“il y a des pièces jointes”) qui ne s’accorde pas.

Quand “ci-joint” se trouve juste après un verbe : (exemple : “vous trouverez ci-joint les documents”).

Dans ce cas, “ci-joint” est comparable à “ici” (par exemple : “vous trouverez ici des documents”). Il joue alors le rôle d’un adverbe et ne s’accorde donc jamais.

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L'accord des verbes en français : ce que vous avez toujours voulu savoir photo

L’accord des verbes en français : ce que vous avez toujours voulu savoir

Quand vous êtes professeur de français, votre entourage vous considère comme une grammaire sur pattes. Ainsi, dès que par malheur, vous laissez traîner une faute dans la carte de noël que vous envoyez, c’est parti pour dix ans de brimades !

Et puis, quand se pose une question d’orthographe épineuse, votre portable devient une véritable hotline…

dictionnaire

Les accords du verbe

La règle générale est simple : le sujet s’accorde en nombre avec le verbe. Ainsi, de façon tout à fait logique, si le verbe a plusieurs sujets, il se met au pluriel.

Pour le moment, aucun problème. Mais certains cas particuliers posent souvent question et sont donc bons à connaître :

1. Doit-on dire “c’est des beaux enfants” ou “ce sont de beaux enfants” ?

En langage de grammaire, cette formule “c’est” ou son équivalent pluriel “ce sont” s’appelle un présentatif.

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La naissance d'un projet encyclopédique à Rome !

La naissance d’un projet encyclopédique à Rome !

A l’évocation de la notion d’« Encyclopédie », c’est vers Diderot et son œuvre magistrale que se dirige d’emblée notre pensée. Seulement, cet encyclopédisme que l’on attribue à Diderot n’est pas né au XVIII è siècle.

Ce concept est le fruit d’un très ancien héritage : l’« εγκυκλιος παιδεια » qui définit un système d’éducation grec embrassant toutes formes de savoir.

Ce concept encyclopédique, associé au IVe siècle à l’éducation du jeune grec, est ainsi véritablement ancré dans la pensée antique. Il évolue cependant sous l’influence des écoles philosophiques, notamment de celle d’Aristote dont la tradition d’enseignement marque la naissance d’une forme de courant encyclopédique.

En effet, la philosophie péripatéticienne comprend trois grands domaines d’investigation qui comprennent l’éthique, la logique et la physique. D’emblée, l’association de ces différents domaines de recherche dénote d’un appétit de savoir grandissant, d’un véritable mouvement d’intellectualisation dans le domaine de la connaissance.

Dans la continuité de ce cheminement engendré par la philosophie, la période hellénistique témoigne d’un intense bouillonnement intellectuel et culturel. C’est ainsi que dans les villes de Pergame, de Rhodes ou encore d’Alexandrie dont l’immense bibliothèque illustre cet intérêt pour la connaissance, le foisonnement scientifique est remarquable.

Les travaux des érudits venus de tout le monde hellénistique se multiplient et donnent ainsi lieu à des publications de grands textes de savoir qui marquent une étape dans l’évolution de ce courant encyclopédiste.

Quant à Rome, c’est à partir du premier siècle de notre ère que la littérature scientifique se développe, fruit de l’héritage de Caton l’Ancien ou de Varron, célèbres pour leurs compilations de faits pratiques : le De Agricultura de Caton constitue une encyclopédie pratique destinée à son fils qui recense tous les éléments importants concernant l’agriculture tandis que le De Lingua Latina constitue la première grammaire latine connue. La publication de ces ouvrages représente les fondements de cette tradition encyclopédique à Rome.

Elle évolue une nouvelle fois avec Lucrèce qui au premier siècle avant notre ère est le premier à écrire un traité scientifique sous forme poétique en latin : De Natura Rerum.

A partir du premier siècle, l’écriture de textes scientifiques en prose se fait beaucoup plus importante et jouit d’une plus large diffusion. Dans de nombreux domaines, ces écrits scientifiques apparaissent : Vitruve écrit son De Architectura, traité d’architecture, Celse publie le De Medicina et Sénèque compose les Naturales Quaestiones.

Aussi, l’ouvrage de Pline l’Ancien intitulé Naturalis Historiae reste le plus représentatif de cette tradition encyclopédiste. Au regard de tous ces textes qui présentent, malgré leur caractère scientifique commun, de grandes différences, on pourrait s’interroger sur les caractéristiques qui définissent l’encyclopédisme à Rome.

Pour envisager cette question, nous déclinerons cette étude en trois mouvements : le premier sera consacré à la méthode de composition utilisée par les encyclopédistes. Puis, nous considèrerons l’écriture à deux niveaux de ces traités scientifiques : érudition et accessibilité. Enfin, nous nous interrogerons sur la valeur scientifique de ces écrits.

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In lycée with Mister B. : last minute homework photo

In lycée with Mister B. : last minute homework

Trois élèves viennent de m’envoyer leur dissertation de littérature étrangère par email.

C’est le dernier jour des vacances et ils espèrent très certainement que tout sera corrigé et rendu demain…

mrb-meme-last-day-homework

Fools.