Tarragone break : journée volley

Vendredi

Dernière journée avant le départ. Après une semaine de soleil et des températures comprises entre 25 et 30°, une brume de froid s’abat sur le camping. Et comme nous sommes situés sur les hauteurs, il fait un peu plus froid ! La plage est donc exclue, comme la piscine d’ailleurs… par contre, un petit volley-ball 6 contre 6, cela tente tout le monde. Mais avant, il faut faire le plein d’apéro : direction Torredembarra pour trouver une petite bodega où nous trouvons un délicieux Moscatel, parfait pour les petits apéritifs entre amis. Si vous ne connaissez pas, c’est une sorte de petit vin doux très sucré, couleur sucre de canne. Je repars avec un petit bidon de 2L pour 5,70 euros. Retour au chalet : il faut finir toute la nourriture qui nous reste – on était toujours à table à 4h de l’après-midi, à l’heure espagnole ! Les réflexions ne tardent pas : “eh ben ça va être dur de reprendre le rythme à l’école hein !”. Heuh oui !

Vue du chalet

Terrain de basketball : on suspend des cordes à linges entre deux poteaux de basket pour créer un filet de volley, abaissé à la bonne hauteur avec nos serviettes de plage. French style. Vu mon état, j’ai un peu fait le spectateur/arbitre et je dois avouer que j’ai bien rigolé : des 12 personnes sur le terrain, 6 savaient à peu près jouer correctement et avaient envie de gagner. Les autres occupaient l’espace. Quel dommage que je n’étais pas en condition, je crois qu’il y aurait eu de l’action ! ^_^

Fin d’après-midi. On commence à ranger parce qu’on veut partir tôt le lendemain. Dernier apéro en règle avec tout le monde et sortie restaurant pour fêter nos vacances. Nous nous rendons au port de Torredembarra afin d’y déguster des tapas dans un restaurant – La Quilla – que nous avait recommandé la patronne de la bodega. Au menu : sélection de tapas du chef et sangria. On a tout eu : salade, gambas, seiche, bulots, friture, jambon sec… vraiment top !

Fait du jour : pour la dernière nuit, Nicolas décide d’aller dormir dehors sur la terrasse. Ce type est fou. Ou alors la sangria était un peu forte. Passé minuit, on entend un roquet aboyer méchamment. Ayant une pensée pour le petit Nicolas, notre fou-rire a dû secouer les fondations du chalet !

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