Petit dialogue sympa avec une de mes classes de cinquième la semaine dernière :
Comme promis la semaine dernière, voici un petit sujet de discussion politique. Il y a quelques mois, je vous avez proposé une chanson de soutien à Obama, Yes We Can, écrite par Will.I.Am.
Et bien voici une nouvelle chanson, It’s a New Day, célébrant la victoire et qui annonce des jours meilleurs.
Mercredi soir, je suis allé voir Paul Gilbert au Trabendo. Je suis arrivé bien à l’heure, bin comme il faut et j’ai filé comme d’habitude en direction de la scène.
Manque de pot, la balustrade a été prise d’assaut par les premiers arrivés, des métalleux en grosse majorité.
J’aime bien les métalleux. Ils sont carrés, souvent sympas mais… toujours grands ! A croire qu’ils font tous plus d’un mètre quatre-vingt-dix, ce qui complique un peu la vue.
Les ministères de l’Education nationale et de l’Enseignement supérieur viennent de lancer un appel d’offres pour assurer une «veille de l’opinion».
En d’autres termes, suivre tout ce qui se dit et s’écrit dans les médias sur les sujets les concernant. Le premier y consacre un budget de 100 000 euros, le second de 120 000 euros.
A l’origine, ce dispositif a été lancé sous l’ère Gilles de Robien alors qu’il n’y avait qu’un seul ministère. Il a été poursuivi par Xavier Darcos (nommé en mai 2007) et par Valérie Pécresse, qui récupère alors l’Enseignement supérieur. L’an dernier, le budget consacré à cette «veille» était déjà de 220 000 euros.
Certains craignent que le ministre cherche à identifier les courants de pensée qui agitent les salles des professeurs afin d’anticiper des mouvements de grogne.
J’ai eu beau changer de port USB, désinstaller puis réinstaller les pilotes, rien n’y faisait : à chaque démarrage de Windows, j’avais droit à une invite me demandant d’insérer le CD d’installation de Windows ou celui de la webcam pour finir de l’installer.
Il y a presque deux semaines maintenant, dimanche 26 octobre, je suis allé entendre Ani DiFranco, Anaïs Mitchell et Hamell on Trial à la Cigale à Paris.
Arrivé en avance (oui, je voulais vraiment briser la mauvaise habitude que j’avais développée lors de ces derniers concerts !), j’ai eu du mal à trouver un siège offrant une vue dégagée.
Au balcon par exemple, les côtés de la scène sont pris d’assaut alors qu’on n’y voit pas très bien (seul le premier rang et au dépit d’une usure dorsale anticipée). Le seul spot convenable, c’est vraiment devant au balcon.
Malheureusement, tout était déjà pris donc je me suis rabattu du côté de la balance sons et lumières où j’ai pu tout apprécier sans soucis.
Putain de série est une série web que j’ai découvert il y a quelques semaines maintenant… sur Facebook. Et oui, comme quoi les réseaux sociaux peuvent aussi nous ouvrir d’autres horizons !
Cette web série, diffusée sur le web uniquement pour le moment, aborde les affres de la création artistique des scénaristes TV.
2008. La saison 1 de la série judiciaire « Des Robes et des Hommes » a été l’évènement de l’année TV ! Dan, son créateur-star, re-signe pour diriger le pool d’écriture de la saison 2.
La pression est énorme et des millions de téléspectateurs s’impatientent. Jerry, le producteur, met toutes les chances de leurs côtés.
Son but permanent : prouver que les Français savent faire d’aussi bonnes séries que les Américains !
La théorie de l’évolution résumée en 5 minutes :
Pas mal fait comme animation ! Il faudrait maintenant savoir d’où vient le singe… cela fait toujours l’objet de recherches et de controverses scientifiques, médiatiques voire religieuses.
Rappelons ici que les théories de l’évolution décrivent le processus par lequel les populations d’êtres vivants se modifient au cours du temps et donnent naissance à de nouvelles espèces.
Ces théories se sont développées à partir du XIXe siècle sous le nom de transformisme, principalement en opposition au fixisme qui postulait que les espèces restent semblables au cours du temps.
Tchak-a-ta-chak-a-ta-chak-a-ta-chak.
Les lettres défilent devant mes yeux à demi-clos. Le bruit me rappelle une arme automatique. Je ferme les yeux un bref instant.
Lorsque je les rouvre, je suis embourbé jusqu’aux genoux. Mes vêtements humides me collent à la peau alors que quelques gouttes de transpiration coulent lentement le long de ma colonne vertébrale.
Une patrouille de trois militaires passe devant moi sans me voir.
Le vacarme est assourdissant, l’air est à la fois humide et âcre à cause des fumées. On ne voit rien à cinq mètres mais on entend des cris et des injonctions en plusieurs langues, dont plusieurs exotiques que je ne comprends pas.
Je continue d’avancer, mon paquetage tapant durement contre mes reins, baïonnette au fusil.
Tchak-a-tachak-a-tachak-a-tachak.
Mes tympans bourdonnent. Putain de mission. Mais où est donc le reste de mon unité ?
Lui joue de la guitare dans les rues de Dublin, elle joue du piano dans un magasin de musique parce que le gérant le lui permet. Il sort d’une rupture douloureuse. Elle est mariée à un homme qu’elle n’aime plus et qui n’a pas pu venir en Irlande avec elle à cause d’un visa.
Ils décident alors d’écrire et de jouer des chansons qui racontent leur histoire d’amour.
My Own Worst Enemy est la nouvelle série de la chaîne NBC.
Edward Albright est un super espion. Henry Spivey vit le rêve américain normal, dans la banlieue chic avec sa femme, ses deux enfants et son chien.
Les deux hommes ont une chose en commun – ils partagent le même corps parce qu’Edward s’est porté volontaire dans une expérience tentant de créer une double personnalité il y a plusieurs années.
Henry n’a jamais rencontré Edward, mis à part une vidéo qu’il reçoit d’Edward l’informant que des hommes sont en route pour le tuer.