Les frères Donnelly, au nombre de 4, sont prêts à tout pour se protéger les uns les autres, même à mentir, tricher, voler ou tuer. Par ordre d’importance, nous avons Tommy (Jonathan Tucker), Jimmy (Tom Guiry), Kevin (Billy Lush) et Sean (Michael Stahl-David).
L’histoire est racontée par une tierce personne, l’aspirant gangster Joey “Ice Cream” (Keith Nobbs), au moment même où les Donnelly s’apprêtent à faire leurs premiers pas dans le crime organisé.
Le responsable de ces employés, David Brent (Ricky Gervais), pense être le “patron” idéal, passant son temps à essayer de faire rire ses employés, ce qui solde souvent par des chutes désâstreuses et beaucoup d’embarras.
Les travers du personnages de Brent sont utilisés pour leur effet comique, allant des gaffes au sexisme et autres faux-pas sociaux. Il est assisté de Gareth Keenan (Mackenzie Crook), un ex-lieutenant dans l’armée territoriale et de Tim Canterbury (Martin Freeman), dont la relation avec la réceptionniste Dawn Tinsley (Lucy Davis) est un tournant majeur dans la série.
Pas de rires enregistrés mais une manière de filmer type documentaire, insistant sur les regards et les expressions du visage.
Brent est drôle mais je crois que les réflexions exaspérées de Tim – face à un travail qui ne le motive pas – le sont encore plus. Gareth ajoute une touche de folie supplémentaire, avec son expérience militaire et sa tête de gars qui n’a pas dormi depuis deux semaines.
Dexter (Michael C. Hall) est un médecin légiste spécialisé dans les prélèvements de sang le jour et serial-killer la nuit, s’occupant des personnes malfaisantes qui réussissent à passer entre les mailles du filet judiciaire.
Orphelin, soutenu par ses parents adoptifs et notamment son père, il travaille en coopération avec sa soeur Debra (Jennifer Carpenter) qui est agent de la police criminelle mais il n’éprouve aucun sentiment : amour, tristesse, remords lui sont inconnus. Il a bien une petite amie, Rita (Julie Benz), mais éprouve-t-il réellement de l’amour pour elle ? Dur à dire.
Ce petit train de vie est perturbé lorsqu’apparaît un autre serial-killer, bien décidé à pimenter sa vie.
Voici une série pour les vrais geeks, ceux qui vivent dans l’obscurité de la cave de leurs parents et qui rêvent un jour d’intégrer une entreprise qui reconnaîtra enfin leurs talents. Enfin, presque !
The IT Crowd est une série proposée par Channel 4 qui raconte l’épopée d’une équipe composée de 3 personnes : un accro aux fast-food kleptomane et fan de jeux vidéos, un exclu de la société qui est toujours habillé par sa mère et une femme qui ne connaît rien à l’informatique…
Ajoutez à cela un humour British décalé et décapant et cette série à tout pour devenir culte !
Le générique est lui-même un petit bijou.
Voici la nouvelle série à la mode diffusée sur la chaîne NBC.
Si vous êtes fan des 4400 ou des films-séries-comicbooks de super-héros, vous serez là dans votre univers comme un poisson dans l’eau.
Heroes parle de personnes disséminées dans le monde entier et possédant des pouvoirs extraordinaires (pouvoir de voler, télépathie, régénération cellulaire, téléportation…).
Ces personnages hors du commun n’ont bien évidemment aucune idée des répercussions de leurs actions sur le monde : ils sont les spécimens de l’espèce qui sont sensés apporter l’évolution, au sens darwinien du terme.
La saison 3 de LOST est certainement la plus riche en rebondissements et en révélations.
Autant les deux premières saisons cherchent à instaurer un cadre et une atmosphère propices au bon déroulement de la série, autant cette nouvelle saison sert de tremplin à l’histoire de nos malheureux compagnons d’infortune.
Les premiers épisodes de la saison 3 sont extrêmement riches et préfigurent le décollement de l’histoire de la série : LOST est enfin lancé et nous sommes désormais prêt à accepter et apprécier le fin génie de ses créateurs.
La saison 3 de Desperate Housewives est déjà bien entamée et il est temps pour moi de venir vous faire mon petit rapport.
Les derniers épisodes de la saison 2 nous avait laissé sur des charbons ardents et cette nouvelle saison s’annonce décidément pleine de rebondissements et avec une plus grande maturité dans la caractérisation des personnages.
Susan Mayer (Teri Hatcher) a un peu évolué par exemple et semble faire un peu moins de gaffes débiles, ce qui contribue à faire évoluer la série vers quelque chose de plus intéressant et de plus varié. En gros, la série décolle un peu et c’est vraiment plaisant à regarder.
Ayant vu cette première saison en anglais, j’ai été déçu – as usual – par le doublage des voix et des noms en français. Surnommer Michael Scoffield “beau gosse” dans une prison haute-sécurité est à la limite du pathétique. Par contre le générique par Faf Larage, c’est un coup marketing très réussi : l’association rap/prison a toujours très bien marché et surfer sur la vague rap actuelle est une très bonne idée pour rendre la série rapidement populaire auprès des 12-25 ans.
Mon préféré reste Theodore “T-Bag” Bagwell, immortalisé par Robert Knepper – j’adore son petit côté psychopathe-je-vais-tous-vous-tuer et si l’on y regarde de plus près, c’est peut-être le personnage “secondaire” qui a le plus de consistance dans la série.
Non !!! Ne me dîtes pas que mes amis américains ont oublié de me prévenir ! La saison 2 de Desperate Housewives a déjà commencé!
Heureusement qu’ils ont pensé à enregistrer les 4 premiers épisodes qui sont déjà sortis, maintenant il faudrait qu’ils pensent à me les poster (tu la vois bien l’allusion là non ?! ;-)).
Je vais vous dire, cela m’a fait un choc de voir que j’étais à la bourre : j’étais tranquillement en train de vérifier mes favoris pour les mettre à jour lorsque j’ai découvert le lancement de cette fameuse saison 2 que nous autres anglicistes attendions avec la plus grande impatience.
Après le choc vint l’excitation de pouvoir enfin voir la suite de la série que nous avions délaissé en mai/juin si je me souviens bien. On a dû finir cela juste avant le CAPES.