Los Toros Diarios : día 4

Aranjuez

Aujourd’hui nous partons visiter Aranjuez, situé à environ une heure de Madrid. C’est là que le roi avait l’habitude de se reposer et de chasser lorsqu’il quittait la capitale. En arrivant à Aranjuez, on comprend bien pourquoi : les jardins sont magnifiques et le plan d’eau apporte beaucoup de fraîcheur.

Jardins - Aranjuez

Nous visitons le Palais Royal en compagnie de notre guide Mauricio : les tentures sont remarquablement conservées et certaines pièces sont des copies d’autres bâtiments étrangers comme le fumoir du roi qui imite l’architecture arabe de l’Alhambra. Un tableau m’a particulièrement marqué : il s’agit en fait d’une mozaïque qui donne l’impression d’une toile tellement ses carrés sont petits et ses couleurs précises. L’illusion est vraiment parfaite. Nous repassons ensuite par les délicieux jardins – le mercure affiche maintenant 31°… ¡ Qué calor !

Palacio Real - Aranjuez

Toledo

Toledo

Nous reprenons la route pour Tolède où nous avons quartier libre jusqu’à 18h30. Nous passons le Tage et serpentons le long de la montagne pour attendre la cité. Défendre Tolède devait être un jeu d’enfant à l’époque des invasions : il faut bien 15 minutes pour monter en bus et la position sur les hauteurs devait en faire une forteresse à l’image de l’Alcazar (le château).

Alcazar - Toledo

Après avoir traversé quelques ruelles moyen-âgeuses, nous attaquons la Cathédrale de Tolède – qui est un monument de classe mondiale. J’ai visité pas mal de cathédrales mais celle-ci vaut le détour par sa richesse et son architecture qui mélange plusieurs styles. L’intérieur se compose de peintures de Goya et d’El Gréco (ces dernières sont bien sombres d’ailleurs, c’est à la limite du macabre pour une cathédrale), de sculptures, vitraux, plafonds sculptés… L’influence de l’Eglise devait y être phénoménale il y a quelques siècles car l’on a vraiment l’impression de se trouver dans le berceau du catholicisme, avec l’Inquisition en toile de fond.

Toledo

Les kilomètres parcourus sur les pavés de Tolède auront eu raison de moi dans le bus qui nous a ramené à Madrid : blackout complet pendant presque deux heures. Du coup, la soirée a été moins mouvementée/arrosée que la précédente : plateau de différents jambons en entrée, poisson/salade et ananas en dessert. A croire que nos serveurs préférés savaient qu’on voulait manger light !

Los Toros Diarios : día 3

Aaaaah !!! Mais qu’est-ce que c’est que ces espagnols qui font la java toute la nuit !?! Impossible de trouver le sommeil à cause des cris, chants, sirènes de police, courses poursuites et – summum de la nuit – le tambour qui a joué de 3h à 4h du matin sous ma fenêtre !

Il s’inscrit dans la lignée d’autres instruments de percussion qui dérangent. Petit déj’ à volonté avec un super jus d’orange frais pour entamer la journée.

Visite guidée de Madrid by bus

Madrid - Campo

Nous avons commencé cette visite avec Mauricio, l’un des guides les plus compétents qu’il m’ait jamais été donné de rencontrer.

A ce niveau là, c’est une alchimie entre un professeur de fac, un historien et un linguiste chevronné.

Il nous a montré tout ce qu’il fallait voir de Madrid en quelques heures : la banlieue nord, l’Université, la Sierra Guadarama, la Casa de Campo, le Palais Royal et ses jardins, la Plaza de Cibeles, la gare du Nord Atocha, le jardin des plantes et le Museo del Prado attenant – pour finir sur la Plaza de Toros.

Atocha - Madrid
Palacio Real pub
Palacio Real - Madrid

Nous avons également vu la représentation du symbole de Madrid, el Oso y el Madroño (l’Ours et l’Arbousier), qui pèse plus de 20 tonnes.

El Oso y El Madroño - Madrid
Plaza de Toros - Madrid

El Museo del Prado

Un fanta et un petit sandwich una bocata plus tard, nous arrivons au Museo del Prado (le musée du pré) qui est LE musée incontournable en Espagne puisqu’il rassemble les oeuvres de Francisco de Goya et de Vélasquez entre autres Raphael, El Greco, Caravaggio, Murillo, Rembrandt et Rubens.

Museo del Prado - Madrid

Le musée couvre 2 étages avec quelques salles au sous-sol et au 2ème étage mais il est bien moins grand que les National Galleries à Londres par exemple.

Il faut environ 2h à 2h30 pour tout voir mais on en sort vraiment ébloui. Petite promenade dans les jardins.

Parque de Madrid

Nous nous dirigeons ensuite vers la Plaza de las Cibeles où j’achète quelques T-shirts souvenirs, la plupart coûtant 5 ou 6 euros.

Retour en bus pour éviter de marcher les quelques 3km de la Gran Vía sous 27° à l’ombre. La fatigue commence à se faire sentir dans les mollets.

Repas

Repas gargantuesque, une fois de plus ! Salade composée en entrée, 3 escalopes qui débordent de l’assiette et – suspense ! – 9 frites.

Visant un peu la table du chauffeur de bus, je m’aperçois qu’il n’a pas de vin mais de la bière. Tiens donc, serait-il possible de dealer ?

M : Digame, ¿ es posible cambiar el vino para algunas cervezas ?
– Sí, ¿ cuantos cervezas quiere ?
– eh… dós por favor !

2 bières contre une bouteille de vin. A la réflexion, c’est peu peut-être un peu cheap barato, j’aurais pu marchander un peu. Etant à 5 sur une table de 6, nous disposions de 2 bouteilles de vin.

Nos voisins, regardant avec des yeux brillants d’envie ma transaction rondement menée dans un espagnol authentique, me demandent alors d’échanger leur bouteille aussi. La prof d’allemand dit qu’elle ne boit pas. Mais ce n’est pas grave mademoiselle !

Je tends le bras, attire l’attention du serveur et échange la bouteille contre 3 bières cette fois-ci, en gardant une pour ma pomme.

Le serveur ne s’y est d’ailleurs pas trompé et m’a chambré personnellement toute la soirée : il a fait des sandwich de ce qu’on ne pouvait pas finir et me les a offert, ce qui fait que je suis sorti du restaurant avec un doggy bag et une bière à la main, Matt-style !

Mercado San Miguel - Madrid

Madrid by night

D’humeur guillerette après toutes les péripéties de la journée, nous nous rendons sur la Plaza Mayor pour boire une petite sangría qui, soit dit en passant – tenait plus de la grenadine aux fruits que du véritable alcool estival.

Plaza Mayor - Madrid

Le retour s’est effectué par les petites ruelles madrilènes, très bien achalandées en fleurs de pavé : les filles sur le trottoir droit, les macs qui surveillent sur le trottoir de gauche et la foule qui défile entre les deux !

C’est la première fois que je voyais une telle disposition – chez nous elle n’ont plus le droit de racoler activement, là-bas les filles vous parlent assez facilement, c’est sympathique… mais je m’égare.

J’offre mon sandwich à un clochard qui dormait dans un coin et nous finissons par retrouver le chemin de l’hôtel, tâche rendue ardue par le flot continu de gens se rendant en ville.

Los Toros Diarios : día 2

Lever embrumé à… 4h40 du matin !!! Petit déj’ à 5h15, départ pour l’aéroport à 5h30 et tout le monde dans le bus à 6h30. Tous ? Non, bien sûr.

La prof d’allemand qui avait fait co-voiturage avec nous la veille n’a pas dormi à l’hôtel mais chez sa soeur et a trouvé le seul clou du périphérique bordelais.

Le bus s’arrête à Anglet puis Bayonne pour récupérer quelques personnes. Nous sommes 39 personnes au total.

Burgos

Nous arrivons à Burgos vers 13h et visitons la Cathédrale avant d’aller manger dans un petit restaurant. Décrypter la carte d’un restaurant en langue étrangère est toujours en délice – c’est quelque chose qui ne s’apprend ni à l’école ni à l’université.

Au final, c’est système D : côtelettes d’agneau/frites. J’ai immédiatement remarqué que les espagnols sont très chiches sur les frites : moins de 10 frites dans l’assiette, cela fait un peu bizarre !

Petit tour dans les ruelles médiévales et détente dans le parc qui longe la petite rivière traversant Burgos.

Burgos : Cathédrale

Madrid

Nous traversons l’Espagne jusqu’à Madrid : le paysage est assez triste, oscillant entre friches industrielles et pampa lunaire clairsemée de rochers.

On ne commence à voir des taureaux (toros ou torillos, plus petits) qu’en approchant de Madrid.

Le ciel est d’un bleu pur incomparable et le soleil commence à taper dans les vitres du bus, cela est bien agréable pour récupérer un peu de sommeil.

Pampa

Nous arrivons à Madrid vers 18h et à l’hôtel vers 19h. La circulation est la même qu’à Paris – aussi encombrée – mais sur plus de voies (3×3 voies la plupart du temps avec des 4×4 voies à certains endroits).

On remarque vite que les espagnols aiment jouer du klaxon : à la moindre seconde perdue, tûûûût! – klaxon.

La gestion du trafic en centre-ville est ahurissante : les gendarmes gèrent la circulation à grands coups de sifflets, tant et si bien qu’on se demande à quoi servent les feux.

Peu de gens respectent le 50km/h et mieux vaut ne pas trop s’approcher du trottoir lorsque l’on veut traverser parce que les voitures ne ralentissent pas…

Dans la chambre d’hôtel, force est de constater que les émissions de télévision espagnoles sont aussi dégradées et dégradantes que les nôtres, ce qui est quand même inquiétant – les effets pervers de la globalisation ne sont pas qu’économiques ou sociaux, ils sont également culturels.

A 21h, nous partons dîner dans un petit restaurant situé à deux rues de l’hôtel où l’on nous sert 6 frites (!) et une entrecôte de plus de 30 cm qui dépasse de l’assiette.

Nous traînons ensuite dans la Gran Vía jusqu’à la Plaza de España. Couché assez tôt pour être frais le lendemain !

Los Toros Diarios : día 1

Backpack Le sac est prêt et le sac à dos est chargé pour le voyage… nous partons de Nantes à 15h30 pour rejoindre notre groupe de co-voiturage qui se trouve à Angers – un peu compliqué mais comme le bus part de Bordeaux, il faut bien se regrouper chez quelqu’un. Bien tassés à l’arrière d’une Scénic chargée à bloc nous arrivons à Bordeaux sur le coup de 23h, en roulant pourtant à un rythme relativement soutenu. Nous formons un petit groupe de cinq : 3 professeurs d’anglais, une professeur d’allemand et un mari qui n’appartient pas à l’Education Nationale.

Nous passons la nuit dans un de ces hotels près de l’aéroport qui ressemble fort à ces motels américains miteux tant prisés par les braqueurs de banque/preneurs d’otages/serial killers dans les films. Et le néon vert de l’enseigne – bizarrement situé juste en face de ma fenêtre – a inondé la chambre d’une lumière blafarde et lovecraftienne toute la nuit. Aye, mis ojos ! *_*

Désinstaller Norton Antivirus définitivement

Norton Killer

Aurélie m’a demandé il y a quelques jours comment éradiquer Norton de son système une bonne fois pour toute.

Voici donc deux solutions susceptibles de résoudre le problème : la première est automatisée grâce à un utilitaire fourni par Symantec, la seconde est manuelle et prend un peu plus de temps.

Je vous conseille d’utiliser d’abord la première solution avant d’essayer la seconde. Vous en avez à peu près pour 10-15 minutes en tout.

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Dialogues ZEP : M’sieur Colina

ZEP inside

5ème section Foot :

Y, be cool and keep it quiet please.

2 secondes plus tard, Y se remet à bavarder avec 3 autres compères.
Right, that’s a yellow card for you young man. Carnet please.
– Tenez M’sieur Colina !
You talkin’ to me ?
Sorry Sir…
That’s better. Now you shush and follow the lesson. Don’t let the card turn red.

Autre classe de 5ème, dans la cour de récréation:

– Hé M’sieur, vous z’étiez pas là hier !?!
– Ben non.
– Haaaan !!! Pourquoi ?
– J’étais malade.
– Han ! Pourquoi ?
– J’ai mangé à la cantine.
– Han !!! Mais faut pas M’sieur !!! Fallait nous demander, on vous l’aurait dit… en plus vendredi c’est poisson.
– ?!? Je ne vois pas trop le rapport, hier on était lundi…
– J’aime pas le poisson.
– Ah, ben oui ! C’est vrai que ça explique tout ça…

On arrive en classe, on se salue, on s’assied en silence (relatif).
Right, today we’re going to see “likes and dislikes”. What do you like ?
– I don’t like fish !!!!
– Yeah, tell me about it… How about you ?

Modifier l’apparence de Firefox grâce aux feuilles CSS

Savez-vous qu’il est possible de changer la manière dont Firefox présente ses menus, ses barres d’outils et même l’emplacement des boutons de navigation en changeant seulement quelques lignes de code dans un fichier CSS ?

Vous pouvez réorganiser pas mal d’éléments en quelques secondes seulement.

Voici un petit mode d’emploi en 4 étapes.

Etape 1 : création du fichier userChrome.css

Rendez-vous dans le dossier de votre profil Firefox qui se trouve à l’emplacement C:\Documents and Settings\*username*\Application Data\Mozilla\Firefox\Profiles\*chaîne_aléatoire*.default\Chrome\.

Vous trouvez un fichier qui s’appelle userChrome-example.css, renommez-le en userChrome.css.

S’il n’existe pas, créez-le. Votre fichier CSS est maintenant prêt à être édité.

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Z.E.P. classes : oh yes, there will be blood…

Voici l’arme d’instruction massive que je possède désormais dans ma classe pour passer les enregistrements audio:

ZEP-APV : SAW Style !

Un Barthes full options, avec toute la connectique des années 1990!

Flashball vs caille-asses

ZEP FlashballJ’intercepte un de mes élèves de 5ème à l’entrée de la classe. Il arbore fièrement un cocard bariolé en dessus de l’oeil.

M : ben, qu’est-ce qui t’es arrivé ? tu t’es encore battu ?!
– nan, jm’y suis pris un flashball !
– un flashball ???
– oui, un flashball, vous savez les balles en caoutchouc là…
– mais comment tu as fait pour te prendre un flashball ???
– ben, on était en train de caillasser des voitures tu vois et puis paf! je me suis pris un flashball quoi !
– attends, tu caillasses des voitures toi ???
– ouais, le soir on arrive et pis on caillasse des voitures quoi…
– tu…tu… tu sais quoi ?
– nan…
– bien fait !

Rencontre avec Kaoru

Special KC’était inévitable ! J’ai enfin rencontré un de mes lecteurs. Alors évidemment je connais de visu certains de mes lecteurs, soit parce que ce sont mes amis, soit parce qu’ils font partie de mon cercle familial. Celui-ci est un peu différent et pour plusieurs raisons : tout d’abord, il s’agit d’un de mes tout premiers lecteurs qui m’accompagne depuis des années maintenant et ensuite parce que je ne l’avais jamais rencontré auparavant : Kaoru.

Nous nous sommes donc donnés rendez-vous place St-Michel à Paris où, bien évidemment, je suis arrivé en retard à cause de Julia qui a voulu faire un détour par le parvis de Notre-Dame, où nous avons pu apprécier quelques spectacles médiévaux avec des troubadours à voix de castra et des damoiselles habillées en Esmeralda. La rencontre en elle-même vaut son pesant d’or :

/me prend son portable et appelle Kaoru.
M : Allô Kaoru ? Salut c’est Matt, je suis place St-Michel t’es où ?
K : Salut ! Ben je suis place St-Michel aussi… Attends je te vois ! tu serais pas blond ?
M : Si, c’est ça ! (/me se rapproche du centre de la place)
K : Ah ben non, c’était pas toi !
M : attends, je vais me mettre à côté d’un poteau. Je porte des lunettes de soleil.
K : il doit pas y avoir des dizaines de couillons à porter des lunettes de soleil par un temps pareil !
Final encounter.

J’adore ! J’avoue rigoler encore de cette petite réplique qui m’a immédiatement fait penser à un des mes meilleurs amis, Jordan. Et plus j’y pense, plus je trouve que Kaoru et Jordan ont de points communs : habits noirs style métalleux/gothique, mêmes expressions, bon humour… bref, j’ai l’impression de retrouver un copain mais avec des références musicales beaucoup plus proches des miennes. On a discuté une bonne heure autour d’un petit verre avant de se séparer. A refaire Kaoru ! ^_^

Concert de Roch Voisine à l’Olympia

Roch Voisine

J’ai eu des nouvelles de Ben et ses Crocos hier soir au téléphone, cela fait du bien d’avoir des nouvelles des potes. Next call is on me guys!

J’ai ensuite filé pour l’Olympia – toujours en VIP, toujours aux frais de la princesse – pour y voir.. non, ne rigolez pas… Roch Voisine. Oui, oui, celui-là même qui faisait se pâmer les filles au collège à la fin des années 80.

Et bien figurez-vous que c’était pas mal du tout : pas mal de guitares, quelques violons et quelques bons grooves ont littéralement mis le feu à l’Olympia. J’ai particulièrement apprécié les deux ou trois chansons blues/rock qui ont rapidement effacé les briquets des deux premiers rangs.

Tiens, parlons un peu du public : photos de l’artiste à la main, albums prêts à être dédicacés, cadeaux jetés sur scène… ils nous ont tout fait. Y compris courir jusqu’à la scène pour s’y coller, ce qui fait que tout le monde a dû se lever pour voir le reste du concert… argh !

Bon concert, on s’est bien amusés. C’est la première fois que je vais dans cette salle et je la trouve vraiment bien. Elle rappelle un peu la salle Paul Fort à Nantes, en un peu plus élaborée. C’est drôle, je pensais que c’était une salle énorme et en fait non, elle doit accueillir 2000 personnes environ.

Et le retour à la maison fut… impossible vu que le RER était fermé pour une cause inconnue. Sleep-crash chez Julia donc.

CSS : créer une feuille d’impression pour votre site

Une fois que l’on a fini de designer son site pour que tout le monde puisse le consulter et admirer vos talents d’artiste vient le moment de penser à la manière dont votre site est rendu lors de l’impression.

En effet, votre site n’est jamais imprimé sur une feuille tel que vous le voyez à l’écran. Si votre design utilise les feuilles de style (CSS), il suffit d’en créer une destinée à l’impression.

Le principe

Faîtes une copie de la feuille CSS de votre site et nommez-la print.css par exemple.

Décidez ensuite quelles sont les parties qui sont superflues lors d’une impression papier : les menus peuvent être ignorés, tout comme les images de fond :

/* désactivation des menus pour l'impression */
.menu-right {
	display : none;
}
.menu-left {
	display : none;
}
Code language: CSS (css)

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