Matt Biscay Le programme du festival des Vieilles Charrues édition 2008 est maintenant définitif et téléchargeable. Je pense arriver là-bas jeudi midi, histoire de trouver un bon emplacement pour la tente… et si possible loin du joueur de djembé !
Voici une petite compilation de l’image du programme, toute en longueur, pour vous éviter de jouer avec les scrollbars de votre navigateur. Cela permet d’avoir une bonne vue d’ensemble :
Avant à la Poste, on attendait à la queue-leu-leu, en silence. Maintenant à la Poste, on attend toujours à la queue-leu-leu mais en plus on attrape un tortis-colis à essayer de regarder l’énorme écran plat qui diffuse des séries débiles sous-titrées. Le progrès pour moi aurait plutôt été de ne pas investir dans un écran plat mais d’embaucher une personne supplémentaire pour réduire ces temps d’attente hallucinants…
Comment s’assurer du succès de son clip ? En utilisant des vidéos qui ont circulé pendant des années sur le net pardi !
C’est ce qu’à fait le groupe Weezer pour son dernier titre, Pork and Beans :
Voici une petite rétrospective en images de la guerre de sécession américaine (1861-1865) : une seconde représente une semaine, ce qui permet de dévoiler l’ensemble du conflit opposant le Nord au Sud de manière continue, montrant les avancées des deux camps de manière très explicite, à la manière d’une marée militaire, avec des explosions pour symboliser les batailles majeures.
Il s’agit donc d’un Samsung 2232BW de 22 pouces. C’est fou comme trois petits pouces changent la vie : fini le 1280×1024, bonjour le 1680×1050 ! Les couleurs sont superbes, il se paramètre facilement et j’adore le gros bouton marche/arrêt en façade : plus besoin de tâtonner avec le doigt en dessous de l’écran pour trouver le bon bouton. Cet écran est un vrai plaisir.
Seule ombre au tableau : l’écran est fixe et ne se règle pas en hauteur comme l’ancien, ce qui est un peu dommage. Mais bon, c’était une solde : beggars can’t be choosers !
Dernier concert parisien de cette année scolaire, je suis allé voir Iron Maiden hier soir à Paris Bercy.
Lorsque je suis arrivé, Lauren Harris – fille de Steve Harris, le bassiste d’Iron Maiden -, avait déjà commencé mais ce que j’ai entendu m’a semblé pas mal du tout.
J’ai trouvé une place dans le noir et ce n’est que lorsque les projecteurs ont balayé la salle que je me suis rendu compte que le POPB était plein à craquer.
D’habitude, le placement est libre dans la fosse mais là, il y avait un premier rectangle de personnes compressées juste devant la scène, entre des barricades, puis le reste de la fosse. Je pense que ces gens-là faisaient partie des premiers arrivés.
Hier soir, j’ai assisté au concert donné par Paul Personne et Hubert-Félix Thiéfaine à l’Olympia, en compagnie d’Olivier, un collègue d’histoire-géographie plutôt rockeur.
Arrivés dans la salle, nous constatons que tous les fauteuils ont été retirés, signe qu’il va y avoir du monde. D’ailleurs la salle est déjà à moitié remplie.
On s’assoit, histoire de ne pas se fatiguer inutilement. L’air est frais à cause de la climatisation qui souffle du sol : mieux vaut avoir un petit pull !
Une fois n’est pas coutume, j’ai – momentanément mais je compte sur vous pour me rafraichir la mémoire! – oublié le nom du groupe qui a joué en première partie. Le groupe Catleya, normalement composé de quatre personnes, ne comprenait que le guitariste et la chanteuse… ce qui est un peu étrange : lorsque l’on a la chance de venir jouer à l’Olympia, on vient normalement avec le groupe au complet, non ?
Une nouvelle vidéo signée par Captain Brackmard qui aborde cette fois le problème de la cohésion sociale, avec un petit côté parodique au vitriol :
Mercredi, nous avons organisé une petite séance volley-ball avec les collègues de sport.
Tout le monde était invité, il suffisait de mettre son nom sur la liste affichée en salle des profs pour connaître à peu près le nombre d’équipes à former et houpla tagada !, tout le monde aux vestiaires.
Cela m’a rappelé de très bons souvenirs de collège : aller chercher les poteaux, trouver quelqu’un avec qui les porter, installer les filets, regonfler les ballons…. cela faisait des années que je n’avais pas fait tous ces petits gestes, ce petit cérémonial !
Chaque année, des collègues obtiennent leur mutation et de nouveaux collègues arrivent dans l’établissement, ce qui fait que l’équipe pédagogique est sans cesse renouvelée.
Cette année, ce ne sont pas moins de 25 départs… et donc le pot des mutants s’est tenu dans la cour de récréation, juste après la répartition des classes.
Ce qui est sympa au pot c’est que c’est très champêtre : quelques tables, les gens apportent de quoi manger et boire et hop, roule ma poule !
Par contre, il faut être là à l’heure : les deux pizzas ont tenu 30 secondes à peu près. Les retardataires ont eu droit à la charcuterie.
Mention spéciale pour les gâteaux maison – je me suis encore régalé avec le brownie new-yorkais de Pierre-Jean !
Et voici une nouvelle parodie de James at War, qui pointe du doigt les fautes de grammaire volontaires de la part des artistes d’aujourd’hui, soi-disant pour “avoir du style”…