Serveur dédié : activer l'IP canonique du serveur sous Apache photo

Serveur dédié : activer l’IP canonique du serveur sous Apache

J’ai récemment procédé à quelques tests sur le serveur et me suis rendu compte que l’adresse IP du serveur ne renvoyait pas vers le nom de domaine : la canonisation de l’IP serveur n’était pas activée.

ip-canonicalization-normalization

Mise en forme canonique de l’IP du serveur

La mise en forme canonique (canonicalization en anglais) est le procédé par lequel on convertit des données qui ont plusieurs représentations possibles vers un format standard.

Dans le cas des URL, cela va nous permettre d’associer une page à une seule adresse. Cela aide les moteurs de recherche à indexer uniquement les pages sur lesquelles se trouvent les contenus et évite le doublons d’indexation pénalisants.

Au cours d’un test, j’ai donc obtenu ce message :

[quote class=”center”]Your site’s IP does not redirect to your site’s domain name. This could cause duplicate content problems if a search engine indexes your site under both its IP and domain name.[/quote]

En soi, cela n’est pas gênant mais cela signifie que l’on peut accéder au site à partir de l’adresse IP et qu’il n’y a pas de redirection vers le nom de domaine.

Cela me dérange un peu donc nous allons voir comment l’activer en quelques secondes sous Apache.

Editer le VirtualHost par défaut

Sous Apache, il existe les VirtualHost que vous avez défini pour vos sites mais également un VirtualHost par défaut, activé par défaut.

C’est ce VirtualHost que nous allons éditer:

nano /etc/apache2/sites-available/defaultCode language: JavaScript (javascript)

On y garde simplement ceci :

    ServerAdmin webmaster@localhost
    DocumentRoot /
    
	Options FollowSymLinks
	AllowOverride None
	RewriteEngine On

	# redirect all domains to skyminds.net
	RewriteCond %{HTTP_HOST} !^((.*)\.skyminds\.net)?$
	RewriteRule (.*) https://www.skyminds.net/$1 [R=301,L]

	# Enforce www and canonicalization
	RewriteCond %{HTTP_HOST} !^www\.skyminds\.net [NC]
	RewriteRule (.*) https://www.skyminds.net/$1 [R=301,L]

	# IP to domain
	RewriteCond %{HTTP_HOST} ^xxx\.xxx\.xxx\.xxx
	RewriteRule (.*) https://www.skyminds.net/$1 [R=301,L]Code language: PHP (php)

Il vous suffit de remplacer mon domaine (skyminds.net) avec le votre et de modifier l’adresse IP de votre serveur.

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Serveur dédié : installer la dernière version d'OpenSSL sous Debian photo

Serveur dédié : installer la dernière version d’OpenSSL sous Debian

Aujourd’hui, on s’intéresse à la mise à jour d’OpenSSL sur un serveur Debian, en utilisant les dépôts sid.

Cela va nous permettre d’installer la dernière mise à jour d’OpenSSL, responsable du chiffrement des connexions de plusieurs services (serveur de fichier, serveur mail, serveur DNS…), pour plus de sécurité sur le serveur.

Ce tutoriel ne prend que quelques minutes et quatre étapes mais il faut bien le suivre jusqu’au bout.

Vérification de la version d’OpenSSL

On commence par vérifier la version d’OpenSSL installée sur notre Debian, pourtant à jour :

openssl version

résultat :

OpenSSL 1.0.1e 11 Feb 2013Code language: CSS (css)

Ouch! Ah oui, ça date un peu! Vérifions les versions disponibles :

apt-cache policy openssl

résultat :

openssl:
  Installed: 1.0.1e-2+deb7u14
  Candidate: 1.0.1e-2+deb7u14
  Version table:
 *** 1.0.1e-2+deb7u14 0
        500 http://security.debian.org/ wheezy/updates/main amd64 Packages
        100 /var/lib/dpkg/status
     1.0.1e-2+deb7u13 0
        500 http://mirror.ovh.net/debian/ wheezy/main amd64 PackagesCode language: JavaScript (javascript)

Nous avons la dernière version stable qui correspond aux dernières mises à jour de notre distribution mais c’est loin d’être la dernière version disponible.

Mise à jour de nos dépôts avec la version sid (unstable)

Nous allons tous simplement installer la dernière version d’OpenSSL qui se trouve dans les dépôts sid, réputés instables car non-testés de manière exhaustive.

On édite la liste de nos dépôts :

nano  /etc/apt/sources.listCode language: PHP (php)

et on y ajoute les dépôts sid :

deb http://ftp.debian.org/debian sid main
deb-src http://ftp.debian.org/debian sid mainCode language: JavaScript (javascript)

On met à jour nos dépôts:

apt-get updateCode language: JavaScript (javascript)

On vérifie les versions d’OpenSSL disponibles :

apt-cache policy openssl

Résultat :

openssl:
  Installed: 1.0.1e-2+deb7u14
  Candidate: 1.0.1k-1
  Version table:
     1.0.1k-1 0
        500 http://ftp.debian.org/debian/ sid/main amd64 Packages
 *** 1.0.1e-2+deb7u14 0
        500 http://security.debian.org/ wheezy/updates/main amd64 Packages
        100 /var/lib/dpkg/status
     1.0.1e-2+deb7u13 0
        500 http://mirror.ovh.net/debian/ wheezy/main amd64 PackagesCode language: JavaScript (javascript)

Pas mal : nous pouvons passer de la version 1.0.1e à la version 1.0.1k et donc bénéficier de tous les mises à jour récentes d’OpenSSL.

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Serveur dédié : retirer Varnish, devenu inutile avec HTTPS photo

Serveur dédié : retirer Varnish, devenu inutile avec HTTPS

J’ai vraiment aimé jouer avec Varnish.

Le problème, c’est qu’en passant l’intégralité du site en HTTPS, il m’est devenu inutile.

Varnish est incompatible avec HTTPS et ne le sera probablement jamais puisque les connexions chiffrées ne doivent, par définition, jamais être mises en cache.

Par conséquent, j’ai décidé de le retirer temporairement du serveur : cela me fera un service de moins à gérer.

Notez que je ne le désinstalle pas, je m’assure juste qu’on ne fait pas appel à lui. Cela me permettra de le remettre en route si jamais j’héberge un jour un site en HTTP simple.

Ce tutoriel part du principe que vous avez suivi les tutoriels précédents et que votre serveur tourne avec Apache et Varnish comme reverse-proxy.

Configuration d’Apache

On doit éditer plusieurs fichiers :

1. le fichier /etc/apache2/ports.conf :

 nano /etc/apache2/ports.conf 

On remet les valeurs par défaut et on écoute sur le port 80 :

# If you just change the port or add more ports here, you will likely also
# have to change the VirtualHost statement in
# /etc/apache2/sites-enabled/000-default
# This is also true if you have upgraded from before 2.2.9-3 (i.e. from
# Debian etch). See /usr/share/doc/apache2.2-common/NEWS.Debian.gz and
# README.Debian.gz

# SkyMinds.Net
# Quand Varnish est actif
# NameVirtualHost *:8080
# Listen 8080

# Apache only
NameVirtualHost *:80
Listen 80


    # If you add NameVirtualHost *:443 here, you will also have to change
    # the VirtualHost statement in /etc/apache2/sites-available/default-ssl
    # to 
    # Server Name Indication for SSL named virtual hosts is currently not
    # supported by MSIE on Windows XP.

   NameVirtualHost *:443
   Listen 443



    Listen 443
Code language: PHP (php)

2. les fichiers de chacun de nos VirtualHosts :

nano /etc/apache2/sites-available/www.skyminds.net
nano /etc/apache2/sites-available/static.skyminds.netCode language: JavaScript (javascript)

On écoutait sur le port 8080, on se remet sur le port 80 :

#<virtualhost *:8080="">
<virtualhost *:80="">
Code language: HTML, XML (xml)

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Postfix : résoudre l'erreur SASL

Postfix : résoudre l’erreur “close database /var/lib/postfix/verify_cache.db: No such file or directory (possible Berkeley DB bug)”

postfix-logo

En jetant un oeil sur les logs du serveur du mail, je me suis aperçu que le même message d’erreur revenait à intervalles réguliers, entre quelques statistiques.

Il s’agit de Postfix qui donne le message suivant :

close database /var/lib/postfix/verify_cache.db: No such file or directory (possible Berkeley DB bug)Code language: JavaScript (javascript)

Selon le créateur de Postfix, ce n’est pas un bug mais juste un message sans conséquence. N’empêche que l’on peut s’en passer facilement.

Solution : ajouter address_verify_map à la configuration Postfix

Cette erreur survient lorsque le fichier de configuration Postfix n’est pas tout à fait complet.

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WordPress : afficher les accents dans des blocs texte colorisés par Crayon Syntax Highlighter photo

WordPress : afficher les accents dans des blocs texte colorisés par Crayon Syntax Highlighter

Jusqu’à très récemment, il m’était tout à fait possible d’avoir des caractères accentués dans des blocs de texte sous WordPress en utilisant le plugin Crayon Syntax Highlighter pour coloriser le code.

crayon-syntax-highlighter

Or depuis quelques temps tous les blocs en lang="text" ne permettent plus d’afficher les accents : je me retrouve avec des mots tronqués comme si le texte n’était pas encodé en UTF-8.

Problème : des caractères non-Unicode

Voici ce que donne la phrase “j’ai mangé une tarte à la crème à Noël” avec une colorisation par défaut avec Crayon Syntax Highlighter :

J'ai mangé une tarte à la crème à Noël.

Gloups! C’est totalement illisible, les accents deviennent un caractère mal encodé et certaines lettres adjacentes sont littéralement supprimées. Pas glop.

Solution : créer un alias

La solution que je propose est plus une rustine d’appoint qu’une véritable solution.

Je pense que le problème réside dans l’expression régulière des langages du plugin : certains langages (shell par exemple) n’acceptent pas les accents alors que d’autres (HTML par exemple) oui.

Je me suis rendu compte en changeant la langue du bloc que le langage batch affichait correctement les accents.

Comme je n’allais pas éditer tous mes articles pour changer le langage des blocs texte que j’ai utilisé jusqu’à maintenant, j’ai opté pour la création d’un alias.

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Installer Wine sous Ubuntu 14.04 LTS Trusty Tahr photo

Installer Wine sous Ubuntu 14.04 LTS Trusty Tahr

Après installation d’Ubuntu 14.04 (Trusty), je me rappelle que wine a été supprimé du système lors de la mise à jour d’Ubuntu.

Qu’à cela ne tienne, on va le réinstaller.

Ajouter le PPA ubuntu-wine

En deux lignes, on ajoute le PPA et on installe wine1.7 :

sudo add-apt-repository ppa:ubuntu-wine/ppa -y && sudo apt-get update
sudo apt-get install wine1.7Code language: JavaScript (javascript)

A ce stade, wine aurait dû s’installer normalement. Mais pas chez moi, non.

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MySQL : résoudre l'erreur

MySQL : résoudre l’erreur “mysql_connect(): Headers and client library minor version mismatch”

Après la mise à jour vers MySQL 5.6, certaines applications peuvent renvoyer l’avertissement PHP suivant :

PHP Warning: mysql_connect(): Headers and client library minor version mismatch. Headers:50535 Library:50617Code language: CSS (css)
icon-mysql

C’est le cas lorsqu’une application est liée à l’utilisation d’une version spécifique de libmysqlclient18 alors qu’elle est connectée à un serveur MySQL qui tourne sur une version différente.

C’est libmysqlclient18 qui renvoie cet avertissement mais dans certains cas, cela peut impacter l’application et tient plus de l’erreur que de l’avertissement.

MySQL Native Driver

La solution est toute simple : il suffit d’utiliser le pilote MySQL Native Driver php5-mysqlnd au lieu du paquet php5-mysql.

Les avantages de php5-mysqlnd sont multiples : il vient en remplacement de php5-mysql, n’est pas lié à la librairie libmysqlclient, ne renvoie pas d’avertissement “version mismatch” et possède pas mal d’autres caractéristiques intéressantes.

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Ubuntu : installer Pepper Flash sous Chromium pour lire les vidéos Flash photo

Ubuntu : installer Pepper Flash sous Chromium pour lire les vidéos Flash

Suite à une mise à jour de Chromium, il y a quelques années, j’ai perdu la possibilité de lire les vidéos flash sous Chromium. Bon, étant utilisateur de FireFox, je ne trouvais pas vraiment cela gênant, sauf pour les vidéos YouTube et Dailymotion.

Et puis aujourd’hui, cela m’a un peu agacé alors je me suis un peu penché sur le problème.

Pepper Flash et Chromium

Si on utilise Chrome, pas de souci, le plugin Pepper Flash comme le lecteur PDF natif sont inclus. Si on utilise Chromium par contre, le navigateur est nu et il faut installer Pepper Flash soi-même.

Installer Pepper Flash sous Chromium avec Ubuntu

Si vous possédez Ubuntu 14.04+, un installeur Pepper Flash Player installer est disponible dans les dépôts, il suffit de l’installer avec :

sudo apt-get install pepperflashplugin-nonfree && sudo update-pepperflashplugin-nonfree --installCode language: JavaScript (javascript)

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Ubuntu logo within an update icon

Ubuntu : résoudre l’erreur “xulrunner-bin: error while loading shared libraries: libhunspell-1.2.so.0”

ubuntu-update

Aujourd’hui, j’ai mis à jour mon installation d’Ubuntu 12.04 LTS (precise) vers la version 14.04 LTS (trusty).

Vu qu’il y a quelques années entre les deux distributions, cela a pris quelques heures mais je trouve le système beaucoup plus réactif. J’ai quand même eu une petite erreur, histoire de justifier cet article.

Problème de dépendances avec le paquet xulrunner

Après l’installation, le nettoyage des paquets obsolètes et un petit redémarrage, apt-get m’a indiqué qu’il y avait un problème de dépendance avec ce message d’erreur :

/var/lib/dpkg/info/xulrunner-1.9.2.prerm: 8: /var/lib/dpkg/info/xulrunner-1.9.2.prerm: /usr/sbin/update-alternatives: not found
/usr/lib/xulrunner-1.9.2.9/xulrunner-bin: error while loading shared libraries: libhunspell-1.2.so.0: cannot open shared object file: No such file or directory
dpkg: error processing xulrunner-1.9.2 (--configure):
 subprocess installed post-installation script returned error exit status 127
Errors were encountered while processing:
 xulrunner-1.9.2
E: Sub-process /usr/bin/dpkg returned an error code (1)Code language: JavaScript (javascript)

Après avoir essayé de réinstaller et supprimer libhunspell et xulrunner sans succès, je me suis dit qu’il fallait passer à autre chose.

La solution : éditer le fichier xulrunner-1.9.2.prerm

En suivant à tâtons les liens du message d’erreur, il se trouve qu’il suffit d’éditer le fichier /var/lib/dpkg/info/xulrunner-1.9.2.prerm pour corriger le problème.

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Serveur dédié : configurer Postfix et Courier pour utiliser TLS-SSL en Perfect Forward Secrecy photo

Serveur dédié : configurer Postfix et Courier pour utiliser TLS-SSL en Perfect Forward Secrecy

Aujourd’hui, on va s’atteler à sécuriser le serveur de mail, géré par Postfix et Courier, pour utiliser notre certificat SSL et en ajoutant le Perfect Forward Secrecy.

Ce tutoriel part du principe que votre serveur tourne sous Debian et que vous avez suivi le tutoriel précédent sur Postfix avec gestion d’utilisateurs virtuels, c’est-à-dire que le serveur de mail doit déjà être opérationnel.

Vérification du fonctionnement du serveur de mail

On commence par vérifier que le serveur est capable d’envoyer des mails avec :

echo "test" | mail -s testsubject user@example.comCode language: PHP (php)

Si le mail est reçu, passez à l’étape suivante.

Configuration du certificat SSL

Nous allons concaténer la clé et le certificat pour Courier :

cd /etc/ssl
cat skyminds.net.key  skyminds_net.crt >> courier-key-crt-dh.pem

et on va y inclure un échange de clés Diffie-Hellman :

openssl dhparam 2048 >> courier-key-crt-dh.pemCode language: CSS (css)

On ajoute une autre clé DH en 2048 bits:

openssl gendh -out /etc/postfix/dh_2048.pem -2 2048

L’échange de clés Diffie-Hellman – du nom de ses auteurs Whitfield Diffie et Martin Hellman – est une méthode par laquelle deux personnes nommées conventionnellement Alice et Bob peuvent se mettre d’accord sur un nombre (qu’ils peuvent utiliser comme clé pour chiffrer la conversation suivante) sans qu’une troisième personne appelée Ève puisse découvrir le nombre, même en ayant écouté tous leurs échanges. Cela sécurise un peu plus l’échange.

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J'ai planté le serveur... ou comment récupérer un serveur Kimsufi après un plantage de kernel avec le mode rescue OVH photo

Récupérer un serveur Kimsufi après un plantage de kernel avec le mode rescue OVH

J’ai lamentablement fait planter le serveur en voulant mettre le kernel à jour…

Heureusement, il existe le mode rescue chez OVH qui permet d’installer un linux provisoire sur le serveur et d’initier une connexion SSH pour que l’on puisse réparer le système.

Si jamais cela vous arrive, voici la marche à suivre.

Passage en mode rescue depuis le manager OVH

lifesaver

1. Aller sur le manager OVH > Dedicated > Infrastructure > clic sur votre serveur > clic sur l’onglet Server Status.

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Linux : installer l'imprimante d'étiquettes WiFi Brother QL-710W et utiliser gLabels pour le publipostage photo 1

Linux : installer l’imprimante d’étiquettes WiFi Brother QL-710W et utiliser gLabels pour le publipostage

J’ai toujours rêvé d’une imprimante d’étiquettes – principalement parce que j’ai la flemme de toujours rechercher sur Google les mêmes adresses parce que je n’ai pas de carnet d’adresse à jour, mais aussi parce que cela fait plus professionnel pour les gens qui reçoivent mes missives.

Après une petite visite sur Amazon, je découvre l’imprimante d’étiquette Brother QL-710W, qui en plus bénéficie d’une offre de remboursement de 50 euros jusqu’à fin décembre 2014. Je me dis que cela pourrait être cool, surtout qu’elle est USB et WiFi.

brother-ql710w

Commandée, reçue le lendemain, déballée, branchée en USB, je me penche maintenant sur la configuration sous Linux.

Installation en USB

Alors, sous Ubuntu, l’imprimante s’installe toute seule. Par contre, sous certaines versions Linux (Linux Mint ou Debian par exemple), il va falloir passer en manuel, en ligne de commandes dans le terminal.

On branche l’imprimante en USB et on l’allume.

On se rend sur la page des pilotes linux de la Brother QL-710W et on y télécharge les deux fichiers suivants : LPR printer driver et CUPSwrapper printer driver.

En voulant lancer l’installation des paquets comme indiqué sur la page du support Brother, j’ai été confronté aux erreurs suivantes :

mkdir: impossible de creer le repertoire "/var/spool/lpd/ql710w": Aucun fichier ou dossier de ce type chown: impossible d'acceder à "/var/spool/lpd/ql710w": Aucun fichier ou dossier de ce type chgrp: impossible d'acceder à "/var/spool/lpd/ql710w": Aucun fichier ou dossier de ce type chmod: impossible d'acceder à "/var/spool/lpd/ql710w": Aucun fichier ou dossier de ce type<Code language: JavaScript (javascript)

Ce qui signifie tout simplement que le répertoire /var/spool/lpd n’existe pas. On s’en assure :

file /var/spool/lpdCode language: JavaScript (javascript)

résultat :

/var/spool/lpd: ERROR: cannot open `/var/spool/lpd' (No such file or directory)Code language: PHP (php)

donc on le crée :

sudo mkdir -p /var/spool/lpdCode language: JavaScript (javascript)

Ensuite, on installe nos deux paquets :

sudo dpkg -i --force-architecture ql710wlpr-1.0.1-1.i386.deb
sudo dpkg -i --force-architecture ql710wcupswrapper-1.0.1-1.i386.debCode language: CSS (css)

Plus d’erreurs, on continue et on vérifie que les pilotes ont été installés et chargés :

dpkg -l | grep Brother

qui nous retourne:

ii  printer-driver-ptouch     1.3-3ubuntu0.1     printer driver Brother P-touch label printers
ii  ql710wcupswrapper:i386     1.0.1-1     Brother CUPS PTouch Printer Definitions
ii  ql710wlpr:i386     1.0.1-1     Brother lpr Ptouch Printer DefinitionsCode language: CSS (css)

À ce stade l’imprimante est quasiment installée, il suffit de se rendre sur la page d’administration de CUPS, à l’adresse http://localhost:631 et de cliquer sur Admin > Add Printer > Local Printer et on se laisse guider.

Amazon Prime Video

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