The following story makes sense if you know some music theory :
C, E-flat, and G go into a bar. The bartender says, “Sorry, but we don’t serve minors.” So the E-flat leaves, and the C and the G have an open fifth between them. After a few drinks, the fifth is diminished; the G is out flat.
An F comes in and tries to augment the situation, but is not sharp enough. A D comes into the bar and heads straight for the bathroom saying, “Excuse me. I’ll just be a second.” An A comes into the bar, but the bartender is not convinced that this relative of C is not a minor.
Then the bartender notices a B-flat hiding at the end of the bar and exclaims, “Get out now! You’re the seventh minor I’ve found in this bar tonight.”
The E-flat, not easily deflated, comes back to the bar the next night in a 3-piece suit with nicely shined shoes. The bartender says: “You’re looking sharp tonight, come on in! This could be a major development.” This proves to be the case, as the E-flat takes off the suit, and everything else, and stands there au naturel.
Eventually, the C sobers up, and realizes in horror that he’s under a rest. The C is brought to trial, is found guilty of contributing to the diminution of a minor, and is sentenced to 10 years of DS without Coda at an upscale correctional facility.
On appeal, however, the C is found innocent of any wrongdoing, even accidental, and that all accusations to the contrary are bassless. The bartender decides he needs a rest – and closes the bar.
There is a parallel between Organized Crime and the movie industry. Organized Crime was one of the ways for social climbing, of getting out of poverty and ethnic matters.
In the main Hollywood studios, many directors were ethnics: Samuel Goldwyn and Louis Mayer (M.G.M. studios: Metro Goldwyn Mayer), David O. Selznick, Charles Chaplin…
The cinema was a new technology founded by the elite, the ethnic entrepreneurs and the W.A.S.P. businessmen. Some innovative sections of business were opened for the same reason (legitimate, profitable). These people found a renovation of the American Dream either in the Organized Crime or in cinema.
Producers did not push gangsters films for the simple reason that it was not that popular at the time. They gave the public what they wanted (and the WASP were rather conservative). It is only when it generalized that gangster movies “took off”.
Another connection: several actors became movie stars because of their ethic origins: James Cagney was Irish. (Public Enemy), Paul Muni was (Scarface)…
They brought the ethnic accent to the screen. They would have never been movie stars with classic films. It is thanks to the gangsters movies and to the parallel made with Organized Crime.
Chicago beer wars
In Chicago, W. Dever was mayor from 1923 to 1927. He was not good at jailing gangsters, because of the reciprocity of exchanges between the gangsters and the politicians.
As a result, the gangsters widened their territory: Southside Beer Wars (1923-1928), Westside Beer Wars (1924-1929).
The Irish were set against the Italians: was it for economic or ethnic matters? It was more economic. The gangs were created along ethnic lines but there were connections.
Famous gangsters in New York
Arnold Rothstein, Lepke Buchalter, Meyer Lansky and Ben Siegel, “Lucky” Luciano…
Gangster movies and censorship
Moral reason: by showing violence on screen you might induce violence to children and immigrants (stereotypes of being children). Since movies were not rated (not before 1962), once approved they could be seen by anyone.
Technical reason: their impact were very new. The sound technology and the editing dictated the pace of the film: juxtaposition of murders and car crashes, fast synthetic collection of acts of violence. Without the sound, this is not half as efficient: the soundtrack is part of the movie.
A film is a democratic form of art, seen by everyone (thus different from literature).
Gangster movies portrayed realistically what happened in American cities.
In Scarface, the archetypal symbol of the cross (symbol of death) can be found at strategic moments: when the pictures of the murder are in the newspaper: the place of the body is symbolized by a cross. It is a mise-en-scene of the feeling of realism.
Sommaire de la série Organized Crime in America during the Prohibition (1929-1951)
Samedi soir : fête chez une connaissance. Fidèle à mon habitude, je m’arrange pour ne pas arriver ni trop tôt, ni trop tard.
Le timing, c’est très important : il faut arriver un peu en retard, histoire que l’on remarque un peu votre absence et partir avant que la fête se finisse dans les petites heures de la nuit.
C’est un peu comme un feu : si vous arrivez trop tôt, vous avez toute la préparation à faire et à souffler pour que cela prenne.
Si vous partez trop tard, vous vous retrouvez à souffler sur des braises mourantes pour que le feu reprenne, exercice délicat et souvent infructueux.
Arrivez donc un peu en retard et partez avant d’avoir à ramasser les cadavres.
Autre aspect de la fête : la musique. C’est un des éléments essentiels, la pierre philosophale d’une soirée réussie.
Avant le choix de la musique vient le choix du thème de la soirée : si c’est une soirée de discussions sérieuses, on veillera à choisir une musique d’ambiance qui ne couvre pas les voix mais qui comble les brefs moments de silence.
Si c’est une soirée plus relax, le choix est alors plus vaste. A vous d’être créatif !
Si ces deux éléments – timing et musique – sont réunis, vous avez une chance de passer une soirée correcte.
Pour information, ils ont passé du Louise Attaque et un remix reggae des Beatles entrecoupé des Strokes pendant deux heures alors qu’ils débattaient politique, éducation et engagement syndical…
Vous voulez trouver de la musique ou des fichiers sur Internet sans utiliser de logiciels P2P mais vous n’avez pas le temps/les moyens/le talent (rayer les mentions inutiles) pour faire partie d’une team W4r3Z ? C’est bien compréhensible. Si l’on prend l’exemple de la recherche de fichiers musicaux, ceci devrait vous intéresser : c’est une fonction JavaScript qui vous permet de chercher avec Google les pages index (que l’on appelle des “dex” dans le jargon 1337) de répertoires contenant des fichiers mp3, wma, ogg, m4a, flac,ape et autres fichiers aux extensions exotiques. Libre à vous d’ajouter d’autres formats, il vous suffit de rajouter les extensions désirées à la fonction (ligne 4 dans cet exemple). Pour des raisons de lisibilité, la fonction s’étale ici sur 5 lignes (sur un 17″” LCD ;-)):
Explications : la première ligne affiche le texte de la boîte Javascript. La seconde et la troisième se rendent chez Google. La quatrième ligne cherche les fichiers portant les extensions définies et la cinquième ligne clôt la recherche.
Pour activer cette fonction, il suffit de la recopier dans un fichier texte sur une ligne. Une fois que vous avez votre ligne, créez un nouveau raccourci dans votre navigateur préféré et collez votre ligne dans l’adresse de votre raccourci. Voilà, vous détenez maintenant un outil puissant pour trouver quasiment ce que vous voulez sur Internet. La fonction proposée ici est orientée pour la recherche de fichiers musicaux, lossy et lossless mais vous pouvez facilement l’adapter pour définir précisement le type de fichiers que vous recherchez. Happy Googling !
En classant un peu mes CDs, j’ai remarqué que cela faisait un bout de temps que je n’avais rien écrit sur ce que j’écoute et comme je suis en train de faire quelques playlists pour ma radio, j’en profite aujourd’hui. J’ai eu l’occasion d’écouter le nouveau Paradise Lost et c’est vraiment un petit bijou. On y retrouve le son et l’atmosphère des précédents albums mais avec le petit plus qui fait qu’il risque de tourner encore un bon moment dans la platine. Il y a même des chansons où je suis obligé de bondir de mon siège pour lire le nom de la chanson. Franchement, cet album éponyme est très bon.
Dans un autre style, j’ai également découvert Cinderella, groupe de rock/hard-rock/blues au look Guns N’Roses. On m’a prêté le best-of qui vient de sortir et il n’y a vraiment rien à jeter. En fait cela me rappelle beaucoup ce que je joue, notamment dans la manière de donner l’inflexion rythmique. Le chanteur a une voix assez agréable, joue de la guitare et du saxophone sur scène. Le groupe a toujours le look hard-rock des années 80 (souvenez-vous des joyeux hair bands) mais l’un des guitaristes joue d’une Gibson Double-neck. Là je fais une pause : combien de guitaristes peuvent vraiment la ramener avec une telle guitare ? Pas tant que cela si l’on regarde bien : au pied levé je dirais Jimmy Page (Led Zep), Alex Lifeson (Rush), Pete Townsend (The Who) et Slash (Guns n’Roses). Je dois sûrement en oublier un ou deux mais je pense que ceux-là sont vraiment ceux qui ont marqué l’histoire de cette guitare. Et bien je crois que je vais pouvoir ajouter Cinderella à cette liste :-)
Et voici janvier, le mois des exams : pas moins d’une vingtaine d’épreuves en tout sur des sujets aussi variés que l’informatique, des notes de synthèses, des sujets d’ordre général ou économiques et politiques, de l’anglais, de l’espagnol (!), de la géographie économique (je me demande à quoi cela peu bien ressembler ça !) et du droit privé. Je sors de deux jours d’exam à 8 heures d’épreuves consécutives et j’en ai déjà marre. Vivement que je décroche un de ces sacrés concours et qu’on en finisse ! Voilà pour le coup de gueule de la semaine.
J’ai trouvé un nouveau générateur d’image pour les adresses Gmail qui prend en compte les 3 formats différents que l’on trouve actuellement, ainsi qu’un (presque) freeware, Image Webscan,qui permet d’aspirer facilement les images d’un site : avec des options minimalistes, il suffit d’entrer l’URL de la page et hop il vous aspire toute la gallerie. Enfin, si vous avez toujours voulu savoir quel était le single UK du moment le jour de votre naissance, Date Engine est fait pour vous. Résultats :
The Number 1 single was :
John Lennon – “Imagine”
The Number 1 album was :
Adam & The Ants – “Kings Of The Wild Frontier”
Pas mal ! Je trouve cela assez cool d’être né le jour où Imagine de John Lennon était numéro 1 des charts. Du coup je me sens presque plus léger pour les nouvelles épreuves qui m’attendent la semaine prochaine…
Hymn permet d’enlever la protection (DRM) des chansons achetées sur iTunes Music Store (AAC / m4p protégés) sans perte de qualité.
Les chansons peuvent alors être jouées sans iTunes, avec n’importe quel environnement. Donc plus de protection, possibilité d’archiver vos musiques, de les convertir dans d’autres formats, de les mettre sur d’autres lecteurs que l‘iPod…
Je viens d’ailleurs de retrouver un de mes vieux favoris, BooTleg, recensant des centaines de lives rares et inédits.
Le site affiche d’ailleurs clairement la couleur du drapeau noir : “pourquoi payer pour des enregistrements pirates à la qualité minable lorsque l’on peut les télécharger gratuitement“.
J’aime bien cet esprit, pas parce que cela fait enrager les majors mais parce que cela me permet de découvrir des groupes que je n’aurais jamais écouté sinon.
C’est grâce à un site du même genre que j’ai découvert Rush et Black Sabbath : l’auteur avait proposé une ou deux chansons de quelques albums (une trentaine je crois) qu’il avait beaucoup aimé.
Du coup j’ai cliqué, j’ai écouté, j’ai acheté. MP3 et maisons de disques peuvent donc cohabiter: c’est comme dans tout, le tout est de savoir doser.
Qui se souvient encore de PeopleSound qui avait pour but de faire découvrir au public de jeunes (et moins jeunes) talents non signés par les maisons de disques ?
C’est grâce à eux que j’ai découvert Serafin, qui a assuré la première partie de Frank Black and the Catholics, (ex-) chanteur des Pixies qui se sont reformés cette année.
Hélas, PeopleSound est mort par manque de mises à jours, par sa publicité toujours plus envahissante et l’obligation de s’enregistrer pour pouvoir écouter ou télécharger les morceaux.
Du coup, où les gens vont-ils aller chercher leur dose de Gibson quotidienne ?