NAS Synology : regarder les vidéos du NAS directement sur la Freebox en DLN photo

NAS Synology : regarder les vidéos du NAS directement sur la Freebox en DLNA

J’utilise mon NAS Synology tous les jours et l’une des fonctions que j’affectionne particulièrement est de pouvoir regarder des vidéos directement sur la télévision, en passant par la Freebox.

NAS Synology : regarder les vidéos du NAS directement sur la Freebox en DLN photo

Il existe plusieurs manières de regarder les vidéos stockées sur le NAS sur la télévision : depuis la Freebox, depuis un navigateur avec VideoStation ou depuis votre mobile avec l’application DS Video.

Lire des vidéos avec fichiers de sous-titres depuis la Freebox

Il suffit de se rendre dans le menu Freebox > Disques et de sélectionner votre NAS, qui s’appelle par défaut “DiskStation” chez Synology.

La Freebox affiche la liste des fichiers vidéos, films, séries tels qu’ils sont sur le NAS, ainsi que les fichiers de sous-titres au format .SRT s’ils sont présents sur le NAS, si vous avez suivi le tutoriel NAS Synology : lire des vidéos avec des fichiers de sous-titres en DLNA sur la Freebox.

Si le fichier de sous-titre porte le même nom que le fichier vidéo auquel il se rattache, alors la Freebox le chargera automatiquement. Vous pouvez alors le désactiver en appuyant sur la touche Menu verte de la télécommande Free.

C’est la méthode que j’utilise au quotidien mais il faut avoir prévu de télécharger les bons sous-titres, s’être assuré que le nom ne diffère pas et les avoir mis dans le même répertoire que le fichier vidéo… cela demande un peu de manutention avant de pouvoir se caler dans le canapé.

Lire des vidéos avec sous-titres chargés à la volée depuis le NAS

Une seconde solution consiste à lancer le fichier depuis le webdamin du Synology : démarrez l’application VideoStation et sélectionnez le fichier à lire.

Allumez ensuite votre télévision et le Freebox Player pour qu’il soit détecté par l’application VideoStation.

Si vous cliquez sur la petite icône Réglages du lecteur vidéo, il est possible de charger des sous-titres à la volée dans la section Sous-Titres :

Synology : regarder les vidéos du NAS sur la Freebox photo

Il ne vous reste plus qu’à sélectionner la destination vidéo vers laquelle envoyer la vidéo en flux DLNA dans la section Source. Ici, nous choisissons Freebox Player en DLNA:

Synology : regarder les vidéos du NAS sur la Freebox photo 1

Il suffit de cliquer sur le bouton lecture et la vidéo sera directement projetée sur la télévision par le biais du Freebox Player.

Lire vidéos et sous-titres depuis l’application mobile DS Video

Je vous ai gardé le meilleur pour la fin : vous pouvez lancer les vidéos du Synology et activer les sous-titres à la volée depuis l’application mobile DS Video, à installer sur votre téléphone portable.

DS Video est une application gratuite, à télécharger : DS Video pour Android (Play Store) ou alors DS Video pour iPhone (AppStore).

Synology : regarder les vidéos du NAS sur la Freebox photo 2

C’est le meilleur des deux mondes : plus besoin de courir sur l’ordinateur pour lancer la vidéo. Il suffit de :

  1. lancer DS Video,
  2. se connecter au Synology avec votre compte habituel,
  3. ne pas activer HTTPS (très important),
  4. choisir la vidéo à lire,
  5. régler les options : sous-titres, sortie vidéo vers le Freebox Player.

Et profiter ! Plus besoin de quitter le canapé cette fois ;-)

Introduction to The Great Gatsby by Francis Scott Fitzgerald : from the Lost Prairies to the Realist Jungle photo

Introduction to The Great Gatsby by Francis Scott Fitzgerald: from the Lost Prairies to the Realist Jungle

  1. Introduction to The Great Gatsby by Francis Scott Fitzgerald: from the Lost Prairies to the Realist Jungle
  2. The Great Gatsby: characters and characterization
  3. The Great Gatsby: the Romantic Quest
  4. Structure and Narration in The Great Gatsby
  5. The ordering of events in The Great Gatsby
  6. The Great Gatsby: an American novel

Both the novel and the American society correspond to the beginning of a modern era. America is a direct consequence of the Age of Reason (18th century).

Indeed, the first settlers intended to escape the tyrannical power of absolute monarchs.

The novel is also the result of a revolution :

  • social revolution: when the middle class asserted its cultural autonomy
  • ideological change that puts the single individual at the centre of the world

Yet, there are profound contradictions:

  • America did not offer favourable conditions for the birth of the novel. The notions of class, love, and marriage are central to the novel.
  • the 18th-century and 19th-century novels are about chasing a husband.
  • the European novel favours a plot with a domestic story and marriage E.g.: Pride and Prejudice, Madame Bovary.
  • the American novel avoids treating passionate relationships, focuses on male characters, and turns away from Society to Nature. E.g. Moby Dick, The Last of the Mohicans.

American novels dream of the innocence of the first settlers but Puritanism and the notion of guilt proved to be fundamental in American literature. This feeling of guilt included the rape of nature and the exploitation of the Natives.

The Lost Prairie

The early 19th century can be described as an American Epic. James Fenimore Cooper’s The Leatherstocking Tales gave America legend and myth.

The two main themes are:

  • the settlement: how pioneers got used to a new life in the American wilderness;
  • the frontier, which can be described as an ideal boundary between two cultures: the “civilized and cultivated” society, and “wild and lawless” tribes. The frontier is also a limit pushed further westward.

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Redémarrer la machine virtuelle de Local by Flywheel photo

Redémarrer la machine virtuelle de Local by Flywheel

Si vous utilisez Local by Flywheel pour développer un site WordPress en local, il peut arriver que la machine virtuelle ne réponde plus et ne veuille plus redémarrer, ce qui rend toute utilisation de Local impossible.

Voici donc comment redémarrer la machine virtuelle de Local by Flywheel.

Redémarrer la machine virtuelle de Local by Flywheel

Si la machine virtuelle ne répons plus, il faut redémarrer la VM local-by-flywheel dans VirtualBox.

1. Ouvrez VirtualBox:

  • macOS: appuyez sur Command + Espace et tapez “VirtualBox” et validez avec Entrée pour ouvrir VirtualBox.
  • Windows: ouvrez le menu Démarrer de Windows ettapez “VirtualBox” et validez avec Entrée pour ouvrir VirtualBox.

2. Faites un clic droit sur local-by-flywheel et cliquez sur Fermer » Redémarrage ACPI.

3. Attendez que la machine virtuelle affiche “Powered Off…”

Si la machine virtuelle n’affiche pas “Powered Off…” après 5 minutes, répétez l’étape 2 et sélectionnez Fermer > Éteindre.

4. Fermez VirtualBox.

5. Ouvrez de nouveau Local.

J’espère que cela peut vous aider.

La machine virtuelle a souvent tendance à planter et fermer/réouvrir Local ne suffit pas toujours. Il faut vraiment relancer le conteneur sous VirtualBox puis relancer Local.

George Orwell - A Final Warning photo

George Orwell – A Final Warning

From the 2003 television docudrama: George Orwell – A Life in Pictures.

Allowing for the book, after all, being a parody, something like 1984 could actually happen. This is the direction the world is going in at the present time.

In our world, there will be no emotions except fear, rage, triumph, and self-abasement. The sex instinct will be eradicated. We shall abolish the orgasm. There will be no loyalty except loyalty to the Party.

But always there will be the intoxication of power. Always, at every moment, there will be the thrill of victory, the sensation of trampling on an enemy who’s helpless.

If you want a picture of the future, imagine a boot stamping on a human face, forever.

The moral to be drawn from this dangerous nightmare situation is a simple one: don’t let it happen. It depends on you.

George Orwell
Serveur dédié : installation de MariaDB 10.3 photo

MariaDB : résoudre l’erreur “Column count of mysql.proc is wrong”

Sur l’un des serveurs de mes clients Codeable, j’ai mis à jour MariaDB de la version 10.1 à la version 10.3 et voici ce que retournait MariaDB lors du lancement de procédures:

ERROR 1558 (HY000): Column count of mysql.proc is wrong. Expected 21, found 20. 
Created with MariaDB 100212, now running 100303. 
Please use mysql_upgrade to fix this error

Si cela arrive, pas de panique: MariaDB fonctionne et le site s’affiche mais la base de données mysql n’a pas été mise à jour par apt, il faut lancer la procédure d’installation manuellement, depuis le terminal.

On met donc la base mysql à jour avec mysql-upgrade:

mysql_upgrade -u root -p

et on relance MariaDB:

service mysql restart

La routine de mise à jour mysql_upgrade permet de mettre à jour la base interne de MariaDB, qui évolue au fil des mises à jour.

Au redémarrage du service, plus de problème avec les procédures SQL.

ON AN ON - Ghosts photo

ON AN ON – Ghosts

On An On est formé par d’ex-membres du groupe Scattered : Nate Eiesland, Alissa Ricci et Ryne Estwing ont décidé d’essayer des choses qu’ils n’avaient pas l’habitude de faire avec leur ancien groupe et leur son déjà établi.

C’est avec le producteur de Broken Social Scene, Dave Newfeld, qu’ils enregistrent leur premier album, autour du morceau Ghosts :

There are spirits coming to find me
They’re not stopping until it’s done
I can feel them taking me over

I can see them from fifty-six miles away
But I can’t hear what they’re saying
They gotta believe me that I’ll never forget you

Every day the ghosts are going to fly
Every way I know I’m going to try
To keep you alive, to keep you alive

Take me out into the night
It was all you didn’t say, you had no fight
I was on the verge to scream
When you wouldn’t scream about anything
I don’t want to be your stupid fling or your magazine
That you look and turn the pages
Of someone else that you’ll never love

And I was on the verge to scream
When you wouldn’t scream about anything

Cela s’écoute très bien et cela va de l’avant. L’album Give In est sorti le 29 janvier 2013 chez Roll Call Records.

WordPress : résoudre le problème de la table wp_options à qui manquent une colonne Unique et une Primary Key photo

WordPress : résoudre le problème de la table wp_options à qui manquent une colonne Unique et une Primary Key

Chez Codeable, j’ai travaillé sur l’optimisation d’un site e-commerce propulsé par WooCommerce récemment, qui connaissait quelques problèmes de lenteur.

Sous phpMyAdmin, on trouvait également cette erreur:

Current selection does not contain a unique column

Si vous obtenez cette erreur, c’est que la structure de la table wp_options n’est pas à jour donc nous la vérifions avec wp-cli:

wp db query "DESCRIBE $(wp db prefix --allow-root)options" --allow-root

Le résultat obtenu nous montre qu’il n’y a pas de clé primaire (primary key) qui est normalement option_id et qu’il n’y a pas de restriction unique imposée sur la colonne option_name:

+--------------+---------------------+------+-----+---------+-------+
| Field        | Type                | Null | Key | Default | Extra |
+--------------+---------------------+------+-----+---------+-------+
| option_id    | bigint(20) unsigned | NO   |     | NULL    |       |
| option_name  | varchar(191)        | YES  |     | NULL    |       |
| option_value | longtext            | NO   |     | NULL    |       |
| autoload     | varchar(20)         | NO   |     | yes     |       |
+--------------+---------------------+------+-----+---------+-------+

Et c’est là que le bât blesse – voici à quoi ressemble la structure standard de la table wp-options:

+--------------+---------------------+------+-----+---------+----------------+
| Field        | Type                | Null | Key | Default | Extra          |
+--------------+---------------------+------+-----+---------+----------------+
| option_id    | bigint(20) unsigned | NO   | PRI | NULL    | auto_increment |
| option_name  | varchar(191)        | NO   | UNI | NULL    |                |
| option_value | longtext            | NO   |     | NULL    |                |
| autoload     | varchar(20)         | NO   | MUL | yes     |                |
+--------------+---------------------+------+-----+---------+----------------+

Ajouter la Primary Key manquante à wp_options

On ajoute à la colonne option_id la clé primaire qui lui manque:

wp db query "ALTER TABLE $(wp db prefix --allow-root)options MODIFY option_id INT AUTO_INCREMENT PRIMARY KEY;" --allow-root

Et on vérifie le résultat:

wp db query "DESCRIBE $(wp db prefix --allow-root)options" --allow-root

Ajouter la contrainte Unique qui manque à wp_options

Pour ajouter la contrainte UNIQUE à la colonne option_name, on lance:

wp db query "ALTER TABLE $(wp db prefix --allow-root)options ADD UNIQUE (option_name);" --allow-root

Là, il est possible que cela bloque, suivant ce qui se trouve dans votre table wp_options.

Résoudre le problème des doublons

Si vous obtenez une erreur comme :

ERROR 1062 (23000) at line 1: Duplicate entry 'jetpack_available_modules' for key 'option_name'

alors cela signifie qu’il existe des enregistrements option_name dupliqués, des doublons qui portent le même nom alors que chaque nom option_name devrait être unique.

On peut obtenir la liste des enregistrements option_name doublons avec cette requête:

wp db query "SELECT option_name, COUNT(*) optioncount FROM $(wp db prefix --allow-root)options GROUP BY option_name HAVING optioncount > 1 ORDER BY optioncount DESC;" --allow-root

Par ordre ascendant, voici la liste des doublons:

+---------------------------------------------+-------------+
| option_name                                 | optioncount |
+---------------------------------------------+-------------+
| jetpack_callables_sync_checksum             |       47123 |
| jetpack_sync_full_config                    |          50 |
| jetpack_sync_full_enqueue_status            |          43 |
| jpsq_sync_checkout                          |          10 |
| jetpack_sync_full__params                   |           5 |
| jetpack_sync_settings_sync_via_cron         |           4 |
| jetpack_sync_full__started                  |           4 |
+---------------------------------------------+-------------+

On peut supprimer automatiquement tous les doublons option_name de deux manières différentes, soit en utilisant la plus vieille valeuroption_id(donc la plus petite valeur d’ID), soit en utilisant la valeuroption_id la plus récente (plus grande valeur d’ID).

Garder le doublon option_name le plus ancien

Voici la requête SQL qui montre uniquement le plus ancien enregistrement (MIN) option_id pour chaque doublon de valeur option_name:

SELECT *
FROM wp options
WHERE option_id NOT IN
    (SELECT *
     FROM
       (SELECT MIN(n.option_id)
        FROM wp_options
        GROUP BY n.option_name) x)

Une fois que vous avez vérifié le résultat, on peut passer à la suppression.

Cette requête SQL garde l’enregistrement (MIN) option_id le plus ancien de tous les doublonsoption_name et supprime tous les enregistrements plus récents que la valeur trouvée:

DELETE
FROM wp options
WHERE option_id NOT IN
    (SELECT *
     FROM
       (SELECT MIN(n.option_id)
        FROM wp_options n
        GROUP BY n.option_name) x)

Voici l’équivalent wp-cli:

wp db query "DELETE FROM $(wp db prefix --allow-root)options WHERE option_id NOT IN (SELECT * FROM (SELECT MIN(n.option_id) FROM $(wp db prefix --allow-root)options n GROUP BY n.option_name) x)" --allow-root

Garder le doublon option_name le plus récent

Cette requête SQL ne montre que les enregistrements option_id les plus récents (MAX) pour tous les doublons option_name :

SELECT *
FROM wp_options
WHERE option_id NOT IN
    (SELECT *
     FROM
       (SELECT MAX(n.option_id)
        FROM wp_options n
        GROUP BY n.option_name) x)

Et voici la requête qui permet de garder les enregistrements option_id les plus récents (MAX) pour tous les doublons option_name en supprimant tous les doublons les plus anciens:

DELETE
FROM wp_options
WHERE option_id NOT IN
    (SELECT *
     FROM
       (SELECT MAX(n.option_id)
        FROM wp_options n
        GROUP BY n.option_name) x)

Voici l’équivalent wp-cli pour garder l’enregistrement option_name le plus récent:

wp db query "DELETE FROM $(wp db prefix --allow-root)options WHERE option_id NOT IN (SELECT * FROM (SELECT MAX(n.option_id) FROM $(wp db prefix --allow-root)options n GROUP BY n.option_name) x)" --allow-root

Vérifier les clés et contraintes de la table wp_options

Ajoutons de nouveau la contrainte UNIQUE sur la colonne option_name :

wp db query "ALTER TABLE $(wp db prefix --allow-root)options ADD UNIQUE (option_name);" --allow-root

Si vous n’obtenez pas d’erreur, vérifiez la table une nouvelle fois pour constater les changements:

wp db query "DESCRIBE $(wp db prefix --allow-root)options;" --allow-root

Kaboom! Votre table wp_options possède maintenant une PRIMARY KEY sur la colonne option_id et la contrainte UNIQUE sur la colonne option_name:

+--------------+---------------------+------+-----+---------+----------------+
| Field        | Type                | Null | Key | Default | Extra          |
+--------------+---------------------+------+-----+---------+----------------+
| option_id    | bigint(20) unsigned | NO   | PRI | NULL    | auto_increment |
| option_name  | varchar(191)        | NO   | UNI |         |                |
| option_value | longtext            | NO   |     | NULL    |                |
| autoload     | varchar(20)         | NO   |     | yes     |                |
+--------------+---------------------+------+-----+---------+----------------+

Je vous conseille de vérifier la structure de la table de temps à autre, notamment si vous constatez une prise de poids anormale en très peu de temps

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MariaDB ne veut plus redémarrer : quelques solutions

MariaDB ne veut plus se lancer

Sur le serveur chinois que j’ai monté pour un de mes clients sur Codeable, le site a commencé à afficher des erreurs étranges : erreur 502 pour nginx sur certaines pages et des nombres étranges en lieu et place des données de la base de données.

Après un redémarrage des services PHP, nginx et mysql, je constate que MariaDB veut bien s’arrêter mais ne veut plus de lancer.

Voici ce que donne:

systemctl status mariadb.service

Résultat:

● mariadb.service - MariaDB database server
   Loaded: loaded (/lib/systemd/system/mariadb.service; enabled; vendor preset: enabled)
   Active: failed (Result: exit-code) since Mon 2019-04-22 18:14:22 CST; 59s ago
  Process: 721 ExecStartPost=/bin/sh -c systemctl unset-environment _WSREP_START_POSITION (code=exited, status=0/SUCCESS)
  Process: 718 ExecStartPost=/etc/mysql/debian-start (code=exited, status=0/SUCCESS)
  Process: 12274 ExecStart=/usr/sbin/mysqld $MYSQLD_OPTS $_WSREP_NEW_CLUSTER $_WSREP_START_POSITION (code=exited, status=1/FAILURE)
  Process: 12179 ExecStartPre=/bin/sh -c [ ! -e /usr/bin/galera_recovery ] && VAR= ||   VAR=`/usr/bin/galera_recovery`; [ $? -eq 0 ]   && systemctl set-environment _WSREP_START_POSITION=$VAR || exit 1 (code=exited,
  Process: 12176 ExecStartPre=/bin/sh -c systemctl unset-environment _WSREP_START_POSITION (code=exited, status=0/SUCCESS)
  Process: 12173 ExecStartPre=/usr/bin/install -m 755 -o mysql -g root -d /var/run/mysqld (code=exited, status=0/SUCCESS)
 Main PID: 12274 (code=exited, status=1/FAILURE)
   Status: "MariaDB server is down"
systemd[1]: Starting MariaDB database server…
mysqld[12274]: 2019-04-22 18:14:19 140194687476288 [Note] /usr/sbin/mysqld (mysqld 10.1.26-MariaDB-0+deb9u1) starting as process 12274 …
systemd[1]: mariadb.service: Main process exited, code=exited, status=1/FAILURE
systemd[1]: Failed to start MariaDB database server.
systemd[1]: mariadb.service: Unit entered failed state.
systemd[1]: mariadb.service: Failed with result 'exit-code'.

Bon, chou blanc. Cela ne nous donne aucune information exploitable quand à l’erreur qui empêche le démarrage du service de base de données.

Solution: vérifier l’espace disponible sur le disque du serveur

On regarde ensuite ce que nous donnent les logs de MariaDB:

tail -f /var/log/mysql/error.log

Résultat:

2019-04-22 18:14:19 140194687476288 [Note] InnoDB: Completed initialization of buffer pool
2019-04-22 18:14:19 140194687476288 [Note] InnoDB: Highest supported file format is Barracuda.
2019-04-22 18:14:19 140194687476288 [Note] InnoDB: 128 rollback segment(s) are active.
2019-04-22 18:14:19 140194687476288 [Note] InnoDB: Waiting for purge to start
2019-04-22 18:14:19 140194687476288 [Note] InnoDB:  Percona XtraDB (http://www.percona.com) 5.6.36-82.1 started; log sequence number 11397472969
2019-04-22 18:14:19 140194687476288 [Note] Plugin 'FEEDBACK' is disabled.
2019-04-22 18:14:19 140194687476288 [ERROR] mysqld: Can't change size of file (Errcode: 28 "No space left on device")
2019-04-22 18:14:19 140194687476288 [ERROR] Can't init tc log
2019-04-22 18:14:19 140194687476288 [ERROR] Aborting

Là, c’est beaucoup plus intéressant. Visiblement, deux erreurs majeures sont à l’origine du non-démarrage du service:

  • il n’y a plus d’espace disponible sur le disque dur du serveur,
  • le fichier /var/lib/mysql/tc.log ne peut pas être initialisé.

Après un petit df, il s’avère que le client a installé un plugin de sauvegarde qui a littéralement saturé tout l’espace disponible.

Après un petit ménage, il ne reste plus qu’à gérer la seconde erreur, Can’t init tc log.

Le fichier /var/lib/mysql/tc.log peut parfois souffrir d’un problème de permission.

Dans le cas du client, on l’archive par précaution:

mv /var/lib/mysql/tc.log /var/lib/mysql/tc_bakup.log

Puis on relance le serveur MariaDB:

service mysql start

On vérifie le statut du service:

service mysql status

qui nous retourne:

service mysql status
● mariadb.service - MariaDB database server
   Loaded: loaded (/lib/systemd/system/mariadb.service; enabled; vendor preset: enabled)
   Active: active (running) since Mon 2019-04-22 18:17:22 CST; 1h 37min ago
  Process: 12467 ExecStartPost=/bin/sh -c systemctl unset-environment _WSREP_START_POSITION (code=exited, status=0/SUCCESS)
  Process: 12464 ExecStartPost=/etc/mysql/debian-start (code=exited, status=0/SUCCESS)
  Process: 12340 ExecStartPre=/bin/sh -c [ ! -e /usr/bin/galera_recovery ] && VAR= ||   VAR=`/usr/bin/galera_recovery`; [ $? -eq 0 ]   && systemctl set-environment _WSREP_START_POSITION=$VAR || exit 1 (code=exited,
  Process: 12337 ExecStartPre=/bin/sh -c systemctl unset-environment _WSREP_START_POSITION (code=exited, status=0/SUCCESS)
  Process: 12334 ExecStartPre=/usr/bin/install -m 755 -o mysql -g root -d /var/run/mysqld (code=exited, status=0/SUCCESS)
 Main PID: 12437 (mysqld)
   Status: "Taking your SQL requests now..."
    Tasks: 29 (limit: 4915)
   CGroup: /system.slice/mariadb.service
           └─12437 /usr/sbin/mysqld

Apr 22 18:17:20 iZuf6aj6jz83uxa0jgbgcrZ systemd[1]: Starting MariaDB database server...
Apr 22 18:17:21 iZuf6aj6jz83uxa0jgbgcrZ mysqld[12437]: 2019-04-22 18:17:21 139940495544896 [Note] /usr/sbin/mysqld (mysqld 10.1.26-MariaDB-0+deb9u1) starting as process 12437 ...
Apr 22 18:17:22 iZuf6aj6jz83uxa0jgbgcrZ systemd[1]: Started MariaDB database server.

A noter que l’erreur 502 de nginx n’était pas due à une mauvaise configuration du server block mais bien d’un manque d’espace disque.

C’est important à vérifier, avant de se lancer dans la dissection du fichier de configuration d’nginx (qui n’aurait pas réglé le problème dans ce cas précis).

Michael Molloy and Alex Evans - Rise and Fall photo

Michael Molloy and Alex Evans – Rise and Fall

“Rise & Fall” est une chanson écrite par Michael Molloy et Alex Evans.

La chanson a été enregistrée par Michael Molloy avant son décès, en septembre 2012, à la suite d’un accident de car survenu alors qu’il rentrait de Bestival.

Le single a reçu le soutien de Brian May, James Morrison, Wayne Rooney et Joey Barton. La chanson a été publiée par les organisateurs de Bestival, Sunday Best, sur leur label Sunday Best Recordings.

Joe Molloy, le frère de Michael, a déclaré:

«L’ambition de Michael était de faire reconnaître sa musique par le monde entier. Il n’a jamais rempli cette ambition et nous, sa famille, l’accomplissons pour lui. Michael ne pourra jamais revenir et nous ne cesserons jamais de le pleurer. Nous pensons à lui chaque heure de chaque jour. Mais la passion de Michael pour la musique et son talent étaient l’une des qualités qui le caractérisaient et nous souhaitons que le reste du monde, par le biais de sa musique, comprenne et apprécie, de façon modeste, ce qu’il était en tant qu’être humain spécial. La sortie du single est à la fois mémorable et festive et nous souhaitons remercier Sunday Best et toutes les personnes qui ont soutenu Michael pendant de nombreuses années. Ils savent qui ils sont. “

WordPress : nettoyer les tables wp_options et wp_postmeta photo

WordPress : nettoyer les tables wp_options et wp_postmeta

Nous allons aujourd’hui examiner deux tables importantes de votre base de données WordPress, wp_options et wp_postmeta.

C’est un domaine qui est souvent négligé en ce qui concerne les performances globales de WordPress et de la base de données.

Cela est très visible sur les sites les plus anciens et les plus gros et peut être la cause des temps de requête lents sur votre site en raison des données à chargement automatique laissées par les plugins et les thèmes tiers.

Voici quelques conseils pour vérifier, dépanner et nettoyer vos tables wp_options et wp_postmeta.

Que contient la table wp_options ?

La table wp_options contient toutes les données relatives aux options et paramètres de votre site WordPress telles que:

  • URL du site, URL de la page d’accueil, adresse électronique de l’administrateur, catégorie par défaut, publications par page, format d’heure, etc.
  • Paramètres pour les plugins, les thèmes, les widgets,
  • Données temporairement mises en cache.

La table wp_options contient plusieurs champs :

  • option_id
  • option_name
  • option_value
  • autoload

Le champ qui nous intéresse particulièrement est le champ autoload, qui contient un drapeau qui peut être soit “yes”, soit “no”. Cela contrôle essentiellement si la valeur est chargée ou non par la fonction wp_load_alloptions().

Les données à chargement automatique sont des données qui sont chargées sur chaque page de votre site WordPress. L’attribut autoload est défini sur «yes» par défaut pour les développeurs, mais tous les plugins ne doivent théoriquement pas charger leurs données sur chaque page.

Le problème que les sites WordPress peuvent rencontrer est celui où la table wp_options contient une grande quantité de données auto-chargées. Cependant, la table wp_options n’a pas non plus été conçue pour contenir des milliers de lignes.

Combien coûte trop de données autoloadées? Cela peut varier, bien sûr, mais idéalement, vous voulez que la taille de votre ordinateur soit comprise entre 300 Ko et 1 Mo.

Une fois que vous commencez à approcher la plage de 3 à 5 Mo ou plus, il existe très probablement des éléments pouvant être optimisés ou supprimés du chargement automatique.

Et tout ce qui dépasse 10 Mo doit être traité immédiatement. Cela ne signifie pas toujours que cela posera un problème, mais c’est un bon point de départ.

Vérifier la taille totale des données auto-chargées

On peut calculer la taille totale des données auto-chargées d’un site WordPress en effectuant la requête suivante sous MySQL:

SELECT SUM(LENGTH(option_value)) as autoload_size FROM wp_options WHERE autoload='yes';

La valeur d’autoload_size est exprimée en octets. Il y a 1024 octets dans un KB et 1024 KB dans un MB. Dans notre cas, 622 138 octets sont donc égaux à 0,62 MB. Donc pour ce site, c’est une bonne taille! Si vous restituez moins de 1 Mo, ne vous inquiétez pas. Cependant, si le résultat était beaucoup plus grand, passez à l’étape suivante.

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BRADAFRAMANADAMADA - Laisse pisser photo

BRADAFRAMANADAMADA – Laisse pisser

Voici une chanson de BRADAFRAMANADAMADA qui permet de remettre en perspectives toutes les petites choses et les petits tracas de la vie quotidienne :

Laisse pisser ! :)

Le Parlement Européen réforme la directive sur le droit d'auteur sur Internet photo

Le Parlement Européen réforme la directive sur le droit d’auteur sur Internet

Réforme de la directive sur le droit d’auteur sur Internet

Le Parlement européen a donné son aval à la directive sur le droit d’auteur, un ensemble de lois controversé destiné à mettre à jour le droit d’auteur en Europe à l’ère de l’internet.

Les députés ont voté à 348 en faveur de la loi et 274 contre. Une proposition de dernière minute visant à supprimer la clause la plus controversée de la loi – connue sous le nom d’article 13 ou «filtre de téléchargement» – a été rejetée de près par cinq voix seulement.

La directive va maintenant être transmise aux États membres de l’UE, qui disposeront de 24 mois pour la traduire en droit national. La directive sur le droit d’auteur est en préparation depuis plus de deux ans et a fait l’objet d’un lobbying acharné de la part des géants de la technologie, des détenteurs de droits et des activistes des droits numériques.

Julia Reda, eurodéputée du parti pirate allemand qui a beaucoup dirigé l’opposition à la directive, a déclaré que c’était “un jour sombre pour la liberté de l’internet”. Andrus Ansip, vice-président de la Commission européenne et grand défenseur de la loi, a déclaré qu’il était un «grand pas en avant» qui unifierait le marché numérique européen tout en protégeant la «créativité en ligne».

Les détails de la législation devront être décidés par les différents États membres de l’UE, mais la loi aura probablement un impact considérable sur le fonctionnement d’Internet en Europe et au-delà. Comme nous l’avons vu avec le GRPD, la législation de l’UE sur la protection des données, la législation européenne peut influencer la politique américaine.

Les partisans de la directive ont déclaré qu’elle équilibrerait le terrain de jeu entre les géants américains de la technologie et les créateurs de contenu européens, en donnant aux détenteurs de droits d’auteur le pouvoir sur la manière dont les plates-formes Internet distribuent leur contenu.

Les critiques disent toutefois que la loi est vague et mal conçue, et finira par restreindre la façon dont le contenu est partagé en ligne, ce qui freine l’innovation et la liberté d’expression.

La nouvelle police d’Internet: la “taxe sur les liens” et le “filtre de téléchargement”

Les clauses les plus controversées de la directive sur le droit d’auteur – l’article 11 ou la “taxe sur les liens” et l’article 13 ou le “filtre de téléchargement” – sont restées en grande partie intactes.

L’article 11 permet aux éditeurs de facturer des plateformes telles que Google Actualités lorsqu’ils affichent des extraits d’articles d’actualité, tandis que l’article 13 (renommé Article 17 dans la version la plus récente de la législation) donne à des sites tels que YouTube de nouvelles obligations pour empêcher les utilisateurs de télécharger du contenu protégé par le droit d’auteur.

Dans les deux cas, les critiques disent que ces lois bien intentionnées créeront des problèmes. L’article 13, par exemple, pourrait conduire à l’introduction de «filtres de téléchargement» qui analyseront tout le contenu de l’utilisateur avant son téléchargement sur des sites afin de supprimer les éléments protégés par le droit d’auteur. La loi n’appelle pas explicitement de tels filtres, mais les critiques disent que ce sera inévitable, car les sites cherchent à éviter les pénalités.

Les défenseurs de la directive disent que les allégations selon lesquelles l’article 13 «tue les mèmes» sont des exagérations et que la législation prévoit des protections pour la parodie. Mais les experts affirment que tous les filtres introduits seront probablement source d’erreurs et inefficaces.

Ils notent également que, compte tenu du coût de déploiement de cette technologie, la loi pourrait avoir l’effet inverse de son objectif: consolider accidentellement la domination des géants américains de la technologie sur les espaces en ligne.

Les effets possibles de la taxe sur les liens sont également difficiles à prévoir. La loi est principalement axée sur des services tels que Google Search et Google News, qui diffusent des extraits d’articles de presse. Google a déclaré que si les journaux choisissaient de facturer des licences pour ce matériel, ils seraient forcés de supprimer le contenu affiché dans Google News.

Les groupes du monde de la musique, de l’édition et du cinéma ont célébré l’adoption de la loi. “C’est un vote contre le vol de contenu”, a déclaré Xavier Bouckaert, président de l’European Magazine Media Association, dans un communiqué de presse. «Les éditeurs de toutes tailles et les autres créateurs auront désormais le droit de définir des termes et des conditions pour que les autres utilisateurs réutilisent leur contenu à des fins commerciales, ce qui n’est que juste et approprié.»

La plupart des gens craignent au contraire que leur expérience du Web ne soit affectée, car la législation aura également un impact considérable sur les hommes d’affaires.

«Quiconque développe une plate-forme avec des utilisateurs de l’UE impliquant le partage de liens ou de contenu est confronté à une grande incertitude», a déclaré Tal Niv, vice-président du droit et de la politique du dépositaire de codes GitHub, dans un communiqué. “Les conséquences sont notamment l’impossibilité de développer les fonctionnalités attendues par les internautes et l’obligation de mettre en oeuvre un filtrage automatisé très coûteux et inexact.”

Message de George Orwell

Cela va conduire à encore plus de chiffrement des réseaux… et c’est George Orwell (ou bientôt George TORwell!) qui adresse un important message à tous les utilisateurs des Internets !