‘An Hour with Pink Floyd: KQED’ sees the band filmed performing live in April 1970 by San Francisco cable TV station KQED.
Taken from the version featured on 2016 ‘The Early Years 1965-1972’ box set, the film includes performances of Atom Heart Mother, Cymbaline, Grantchester Meadows, Green is the Colour and Careful with that Axe Eugene.
Appearing as part of the @YouTube Film Festival until May 17th.
“This song goes to all of you out there, this song goes out to your loved ones, to all your dreams. May you and your families be safe, in peace and have love in this crazy world that we’re living in at the moment. “
John Butler
This is the ever-changing Ocean by John Butler at the Paleo Festival:
Je vous ai déjà parlé du film Once – que je recommande toujours chaudement – donc voici un autre extrait musical avec la chanson “Falling Slowly”, interprétée par Markéta Irglová et Glen Hansard :
C’est un plaisir d’écouter le duo des voix et l’alliance guitare acoustique / piano.
Pour la petite histoire, Markéta Irglová retrouve souvent Glen Hansard lors de ses concerts pour interpréter la chanson en duo.
“Falling Slowly” a reçu plusieurs prix après la sortie du film : Academy Award for Best Original Song et Critics’ Choice Movie Award for Best Song.
Paroles
I don’t know you But I want you All the more for that Words fall through me And always fool me And I can’t react And games that never amount To more than they’re meant Will play themselves out
Take this sinking boat and point it home We’ve still got time Raise your hopeful voice you have a choice You’ll make it now Falling slowly, eyes that know me And I can’t go back
Moods that take me and erase me And I’m painted black You have suffered enough And warred with yourself It’s time that you won
Take this sinking boat and point it home We’ve still got time Raise your hopeful voice you have a choice You’ll make it now Falling slowly sing your melody I’ll sing along
“Breathing” is an original piece for classical guitar composed and performed by Nicolò Renna.
The composition has evident popular influences that recall the sounds of Ireland and Celtic music. The academic style of classical guitar combined with very catchy percussive elements create an original mix between classical music and finger-style.
The guitar used in the video is by lutist Roberto De Miranda.
Michael Kobrin est né en Ukraine et a déménagé en Israël à l’âge de 4 ans. Influencé par différentes cultures, il a commencé à chanter dans une chorale et à jouer du Darbooka oriental.
A l’adolescence, il découvre la guitare acoustique et très vite commence à explorer de nouvelles techniques de percussion, inspirées par Roland Dyenz, Andy Mckee et John Mayer.
Voici Alive:
En écoutant les chansons rock, pop, orientales et progressives, pas à pas, Michael a évolué pour devenir un compositeur hors du commun qui combine la musique orientale et occidentale.
En 2014, il enregistre son premier album studio complet produit par le très respecté Yossi Sassi (co-fondateur d’Orphaned Land). L’album a été considéré comme un grand succès.
En 2017, Kobrin sort son deuxième album complet “Alive” avec Candyrat Records, tous dédiés à la guitare acoustique solo.
Voici Bob Culbertson qui interprète While My Guitar Gently Weeps des Beatles au Chapman Stick :
Le son est chaud et envoûtant – magnifique.
Le stick ou Chapman stick est un instrument de musique amplifié inventé par Emmett Chapman en 1969. Il est dérivé de la guitare, et comporte huit, dix ou douze cordes séparées en une partie mélodique et une partie basse.
Sa singularité est que ces cordes sont frappées avec les doigts selon la technique du tapping à deux mains ou touch-style et permet un jeu nettement plus polyphonique qu’un instrument à corde plus classique, ce qui le rapproche des instruments à clavier. Les cordes de la partie basse et de la partie mélodique sont d’ailleurs amplifiables séparément.
Il peut être utilisé dans n’importe quel style : rock, funk, classique, jazz, blues, salsa, celtique, punk…
Le son de cet instrument est chaud et puissant, et sert en général à grossir les basses des accords. La technique utilisée s’apparente un peu au piano dans le sens où la main gauche joue généralement les basses — avec éventuellement les accords — pendant que la main droite joue les mélodies ou les accords.
On peut entendre du Stick sur de nombreux enregistrements, en particulier dans les parties de basse. Parmi les groupes ou les artistes ayant utilisé le Stick, on trouve Alphonso Johnson, Tony Levin sur les disques de Peter Gabriel, King Crimson, Liquid Tension Experiment, Nick Beggs, Kittyhawk, Anderson Bruford Wakeman Howe (à nouveau Tony Levin), le Dave Matthews Band ou encore Dream Theater.
“I Hung My Head” est une chanson écrite par Sting en 1996. Il écrit cette chanson pour se souvenir de son enfance, quand il était fan des films de western qui passaient à la télévision.
En 2002, Johnny Cash reprend cette chanson sur l’album American IV: The Man Comes Around.
La chanson raconte l’histoire d’un jeune homme qui tue quelqu’un par accident, avec les émotions qu’il ressent et les conséquences que son acte va entraîner.
Voici comment la jouer à la guitare :
Intro - C, F handful of times
[C]Early one morning
With [F]time to kill
I [Am]borrowed Jeb's rifle
And [F]sat on the hill
I [C]saw a lone rider
[F]Crossing the plain
I [Am]drew a bead on him
To [F]practice my aim
[Dm]My brother's rifle
Went [G]off in my hand
A shot rang out
[C]Across the land
The [F]horse he kept running
The [Am]rider was dead
I [C]hung my head I [F]hung my head
[C]
[C]I set off running
To [F]wake from the dream
[Am]My brother's rifle
Went [F]into the stream
[C]I kept on running
[F]Into the salt lands
And [Am]that's where they found me
My [F]head in my hands
The [Dm]sheriff he asked me
[G]Why had I run
Then it came to me
Just [C]what I had done
And [F]all for no reason
Just [Am]one piece of lead
I [C]hung my head I [F]hung my head
[C]
[C]Here in the courthouse
The [F]whole town is there
[Am]I see the judge
High [F]up in his chair
"Ex[C]plain to the courtroom
What [F]went through your mind
And [Am]we'll ask the jury
What [F]verdict they find"
I said [Dm]"I felt the power
Of [G]death over life
I orphaned his children
I [C]widowed his wife
I [F]beg their forgiveness
I [Am]wish I was dead"
I [C]hung my head, I [F]hung my head
I [C]hung my head, I [F]hung my head
[C]
[C]Early one morning
With [F]time to kill
[Am]I see the gallows
[F]Up on the hill
And [C]out in the distance
A [F]trick of the brain
I [Am]see a lone rider
[F]Crossing the plain
[Dm]And he's come to fetch me
To [G]see what they done
We'll ride together
[C]'Til kingdom come
I [F]pray for God's mercy
For [F]soon I'll be dead
I [C]hung my head, I [F]hung my head
I [C]hung my head, I [F]hung my head
I [C]hung my head, I [F]hung my head
L’histoire est racontée du point de vue d’un jeune homme qui emprunte le fusil de son frère. Il aperçoit un cavalier au loin dans la plaine et l’observe depuis la lunette de son fusil (“I drew a bead on him; to practice my aim.”) lorsque celui-ci se décharge d’un coup, tuant le cavalier.
L’homme court vers les marais salants et jette le fusil dans la rivière (la version de Johnny Cash change “salt lands” en “south lands”, et “stream” to “sheen”). Il est appréhendé par un shérif et réalise ce qu’il vient de commettre.
Il est amené au tribunal devant un juge et des jurés, où il demande pardon et se mortifère.
Attendant l’exécution sur la potence, il voit – comme si son esprit lui jouait un tour (“trick of the brain”) – le cavalier revenir afin qu’ils aillent ensemble au paradis (“till kingdom come”). L’homme prie alors Dieu pour demander de la clémence et de la compassion.
Joel Havea est un auteur-compositeur et guitariste australien qui vient de Melbourne.
Il a commencé à jouer depuis son plus jeune âge avec “the Havea Brothers”, en duo avec son petit frère Dave, et c’est alors qu’il a développé son propre style de reggae avec une sensibilité pop acoustique.
Après avoir parcouru le monde en jouant des concerts en Asie et en Europe, il pose ses valises à Hambourg, en Allemagne pour y jouer dans des salles ou des bars de la ville.
Voici son interprétation de Back in Black d’AC/DC, version acoustique, au Kemp’s English Pub, Hamburg le 10 octobre 2013 :
Sympa non ? Le percussionniste gère aussi… une reprise bien groovy !
Samedi 14 février 2014, Cécile et moi avons assisté au concert de Terry Ilous, Jorge Salán, et Jeff Scott Soto au Ferrailleur de Nantes, avec le groupe LA Chords en première partie.
LA Chords
La première a été assurée par les LA Chords : Sébastien Ianotto au chant, Sébastien Naud à la guitare et chant et Yann Le Gars à la guitare.
Bon groupe avec des reprises acoustiques rock et hard-rock sympas : AC/DC, The Rolling Stones, The Guns’N’Roses… pas mal de classiques rock en fait. Ils ont joué une demi-heure à peu près.
Terry Ilous et Jorge Salán
Ensuite, sont apparus Terry Ilous et Jorge Salán. Pour la petite histoire, Terry Ilous est français – né à la Courneuve – et il est à l’origine du groupe XYZ mais aussi le chanteur de Great White… rien que ça !
Il est très bon communiquant avec le public et n’hésite pas à nous raconter quelques anecdotes, c’était vraiment sympa. Il a visiblement apprécié de pouvoir dialoguer en français, chose impossible aux Etats-Unis, où il rassemble des foules de plus de 45 000 personnes. Nous devions être à peu près 200 dans la salle, c’était plutôt intimiste pour lui :)
Au niveau de la voix, je n’ai pas été déçu : j’ai bien reconnu son timbre particulier et il a vraiment assuré. Aucun stress : on voit qu’il a l’habitude de tourner. Bon jeu de guitare également, tout acoustique.
La guitare de la soirée est sans aucun doute décernée à Jorge Salán, un formidable guitariste espagnol humble et discret, qui a joué avec Mägo de Oz et Jeff Scotto Soto (entres autres) et qui a assuré la partie avec Terry puis Jeff.
Jorge a un jeu vraiment génial et retranscrit tous les solos, bends et autres riffs sur ses guitares acoustiques. Un guitariste hors-pair.
Jeff Scott Soto et Jorge Salán
Après la partie de Terry, Jeff Scott Soto est entré en scène. Jeff Scott Soto, américain d’origine porto-ricaine, a chanté pour Journey, Talisman, Yngwie Malmsteen, Axel Rudi Pell et Trans-Siberian Orchestra… sacré palmarès aussi!
Fink est un groupe folk formé par Fin Greenall (surnommé Fink), – auteur-compositeur né en Cornouailles (Angleterre) -, avec ses amis d’enfance, Guy Whittaker et Tim Thornton.
Voici Yesterday Was Hard On All Of Us:
Leur musique folk et intimiste est un vrai régal pour les oreilles. Ce morceau est à retrouver sur l’album Perfect Darkness (2011).