Serveur dédié : passage au mod FastCGI et PHP-FPM avec Apache MPM Worker photo

Serveur dédié : passage au mod FastCGI et PHP-FPM avec Apache MPM Worker

Aujourd’hui, j’ai changé la manière dont Apache et PHP interagissent ensemble.

Concrètement, au lieu d’utiliser la configuration par défaut du serveur Apache, c’est-à-dire le module mod_php par défaut, le serveur utilisera dorénavant mod_fastcgi (fastcgi) avec PHP-FPM (FastCGI Process Manager).

PHP : mod_php vs mod_fastcgi

La raison principale pour laquelle mod_php utilise plus de ressources réside dans le fait que le module est chargé par le serveur même lors de requêtes pour des fichiers autres que PHP, comme des fichiers HTML ou des fichiers JavaScript.

debian-apache-php-fpm

FastCGI Process Manager (PHP-FPM) aide à réduire l’addition des ressources système utilisées en forçant le serveur à agir comme un proxy et à ne passer que les fichiers portant l’extension php à PHP-FPM.

Ce tutoriel assume que vous avez une installation Apache/PHP sous Debian qui tourne sous mod_php, c’est-à-dire une installation standard. Les changements prennent moins de 15 minutes.

Objectifs : gagner en rapidité d’exécution et avoir une installation plus légère. On peut ainsi envisager un jour de changer Apache pour un autre serveur tout en gardant la même configuration PHP.

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Linux : installation d'une carte WiFi b/g/n Broadcom 43222 photo

Linux : installation d’une carte WiFi b/g/n Broadcom 43222

Aujourd’hui, je me suis encore amusé à mettre à jour mon portable Toshiba de 2005 : après lui avoir mis un SSD et Linux Mint, je lui ai offert une carte WiFi Broadcom 43222, en remplacement de l’Intel WM3B2200BG d’origine.

wifi-broadcom-BCM43222

Je me suis aperçu que c’était difficile pour cette machine de capter le signal WiFi, que ce soit à la maison ou lorsque je suis à l’étranger : il n’y a rien de plus vexant que d’amener sa machine et de ne pas pouvoir se connecter au réseau.

Changer une carte réseau sur un ordinateur portable n’a rien de bien compliqué mais il m’a fallu du temps pour trouver une carte de remplacement compatible : toutes les nouvelles cartes sont en PCI-Express maintenant, or mon Toshiba n’accepte que du Mini-PCI Type III.

La carte Broadcom est la seule que j’ai trouvé qui fasse WiFi N et qui soit en Mini-PCI, je l’ai achetée pour une dizaine d’euros sur Ebay.

Par conséquent, voici un petit tutoriel qui montre comment changer une carte WiFi sur un Toshiba Satellite.

Etape 1 : démontage et remplacement de la carte

On commence par la base : on éteint la machine, on enlève le courant et on retire la batterie. Et on touche un objet métallique pour décharger l’électricité statique, on ne sait jamais.

Voici quelques images intéressantes pour le démontage du Toshiba Satellite.

1. Retourner le laptop pour avoir accès aux modules et enlever la batterie.

2. Retirer la vis du module WiFi.

3. Déconnecter les câbles de l’antenne de la carte. Le fil blanc va sur MAIN et le fil noir sur AUX.

4. Retirer la carte WiFi. Il suffit d’écarter simplement les deux pattes qui la retiennent : elle va se lever doucement et vous pourrez la retirer doucement. Il ne faut surtout pas utiliser la force : juste écarter les deux pattes et lever la carte.

5. Insérer la nouvelle carte. Elle est plus compacte donc aucun souci pour la placer. Remettre les deux fils d’antenne. Revisser le compartiment.

Etape 2 : installation des pilotes

Une fois la carte changée, un reboot et vous vous apercevez que nous n’avez plus le WiFi ? C’est normal, la nouvelle carte nécessite des pilotes qui ne sont pas installés par défaut… il faut donc passer par une connexion Ethernet le temps de les installer.

Je n’avais pas anticipé cela quand j’avais commencé le tutoriel mais étant chez moi, cela n’a pas posé de souci. C’est une chose importante à souligner toutefois.

Notre nouvelle carte est normalement gérée par les pilotes b43. On peut le vérifier avec cette commande :

sudo lspci -vnn -d 14e4:

qui retourne ceci :

06:02.0 Network controller [0280]: Broadcom Corporation BCM43222 Wireless Network Adapter [14e4:4350]

La dernière partie entre crochet – 4350 – signifie que nous avons bien affaire à une carte Broadcom BCM43222, prise en charge depuis la version 3.8 des pilotes, et capable de WiFi a/b/g/n.

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Serveur dédié : créer et activer un Virtual Host sous Apache photo

Apache : lorsque le domaine seul (sans WWW) renvoie une erreur 403

Le problème : l’adresse du site sans WWW renvoie une erreur

icon-apache2

Après avoir ajouté un sous-domaine pour mes images, j’ai remarqué qu’en lançant skyminds.net sans le www, je tombais sur une erreur 403 alors que le domaine avait toujours été redirigé vers l’adresse en www jusqu’à présent.

En analysant les logs Apache, je me suis rendu compte que le domaine seul tentait d’afficher le contenu de mon sous-domaine. Or ce contenu est caché étant donné qu’il ne contient que des images.

La solution : indiquer le nom de domaine seul dans ServerAlias

La solution est d’ajouter le nom de domaine seul dans la directive ServerAlias du VirtualHost principal :

ServerName www.skyminds.net
ServerAlias skyminds.net

Et voilà, tout revient à la normale.

Linux : résoudre l'erreur cron

Linux : résoudre l’erreur cron “line too long in state file /var/lib/logrotate/status”

Ce matin, j’ai reçu ce message d’erreur de mon serveur par email :

/etc/cron.daily/logrotate:
error: line 672139 too long in state file /var/lib/logrotate/status
error: could not read state file, will not attempt to write into it
run-parts: /etc/cron.daily/logrotate exited with return code 1
log-rotate

Sous les systèmes GNU/linux, logrotate est le service qui archive les fichiers log de manière à ne pas travailler sur des fichiers trop lourds.

Les fichiers sont donc archivés plus ou moins régulièrement, selon leur taille et leur utilisation : certains sont archivés tous les jours, d’autres toutes les semaines.

Or, si logrotate ne fonctionne pas correctement, la taille des fichiers explose, ce qui posera tôt ou tard un souci sur le serveur.

Lorsque logrotate n’arrive pas à lire ou à écrire dans le fichier /var/lib/logrotate/status, il faut :

1. supprimer le fichier /var/lib/logrotate/status :

rm -rf /var/lib/logrotate/status

2. et relancer logrotate :

logrotate -f /etc/logrotate.conf

Le fichier /var/lib/logrotate/status ne sert finalement qu’à garder une trace de la dernière rotation des fichiers logs. Ce fichier ne devrait pas contenir énormément de lignes.

Ps : si vous utilisez Varnish, commentez les lignes le concernant dans /etc/logrotate.conf, il est peu utile d’encombrer le serveur avec les logs de ressources statiques.

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Linux : résoudre l’erreur de montage/démontage de disque dur “Error unmounting: umount exited with exit code 1: helper failed with: umount: only root can unmount”

Sur mon ordinateur, surnommé The Reaper, j’ai plusieurs disques dur : mon disque principal est un disque formaté en EXT4, entièrement dédié à Linux.

Les deux autres disques durs sont formatés en NTFS car ils datent du temps où j’avais Windows dessus.

Le problème : un disque en lecture seule

disk-doctor

L’autre jour, Cécile cherche à sauvegarder ses fichiers sur son disque externe, qui ne semble pas être détecté.

Je lui propose alors le mien et le branche sur ma machine pour voir s’il reste de la place dessus.

Je le monte et là je m’aperçois qu’il est en mode lecture seule (aka read-only ou r-o) : impossible de copier le moindre fichier dessus alors qu’avant c’était bien possible.

Après de multiples recherches, essais, installations de paquets divers et variés, la situation a un peu changé : mes 2 disques internes se montent maintenant automatiquement au démarrage du système (ce que je ne veux absolument pas).

Lorsque je veux les démonter, j’obtiens le fameux message d’erreur “Error unmounting: umount exited with exit code 1: helper failed with: umount: only root can unmount” qui me dit en substance que seul l’utilisateur root peut monter ou démonter le disque.

Bref, je tombe de Charybde en Scylla. Voici comment régler la situation une bonne fois pour toute, disques internes et externes à la fois.

1. On liste les disques du système avec :

df

2. On démonte les disques en question (sda chez moi) :

sudo umount /dev/sda1

3. On installe le paquet ntfs-config :

sudo apt-get install ntfs-config

4. On lance ntfs-config depuis Applications > Outils Système > Outil de configuration NTFS ou depuis le terminal avec :

gksudo ntfs-config

5. On active l’écriture des disques internes et externes :

ntfs-config

6. On édite le fichier de configuration /etc/fstab :

sudo nano /etc/fstab

et on retire les lignes qui correspondent aux disques durs dont on ne veut pas le montage automatique. Vous pouvez commenter les lignes pour plus de sécurité.

7. Voilà, vous devriez être en mesure d’accéder à vos disques durs normalement.

Conclusion

J’ai beaucoup joué avec les options avancées de ntfs-config mais je ne suis pas sûr d’en maîtriser toutes les subtilités.

J’ai retrouvé un accès complet à mes disques en montage/démontage/lecture/écriture en éditant le fichier /etc/fstab et en supprimant les lignes relatives aux disques incriminés. Et depuis tout va bien.

sdcard-recovery-testdisk

Linux : réparer la table de partition d’une carte SD (erreur : “can’t read superblock”)

Le problème : une carte SD non détectée

sdcard-recovery-testdisk

Aujourd’hui, je me rends compte que la carte microSD de mon téléphone Android n’est plus reconnue. Je ne l’ai pas vu tout de suite donc il est fort possible que cela fasse un petit bout de temps que cette situation perdure.

Je la branche sur un lecteur de carte pour voir ce qui se passe et j’obtiens ce message d’erreur :

Error mounting: mount: /dev/sdh1: can't read superblock

On vérifie que la carte est détectée :

sudo fdisk -l

Résultat :

Disk /dev/sdh: 16.6 GB, 16574840832 bytes
28 têtes, 60 secteurs/piste, 19269 cylindres, total 32372736 secteurs
Unités = secteurs de 1 * 512 = 512 octets
Taille de secteur (logique / physique) : 512 octets / 512 octets
taille d'E/S (minimale / optimale) : 512 octets / 512 octets
Identifiant de disque : 0x00000000

Périphérique Amorçage  Début         Fin      Blocs    Id. Système
/dev/sdh1            8192    32372735    16182272    c  W95 FAT32 (LBA)

La carte est bien détectée mais elle ne peut être montée. On vérifie maintenant le système de fichiers. Ma carte est en FAT32 donc on lance :

sudo fsck.msdos /dev/sdh1

Résultat :

dosfsck 3.0.12, 29 Oct 2011, FAT32, LFN
/
  Contains a free cluster (2). Assuming EOF.
FAT32 root dir starts with a bad cluster!

Nous avons donc bien des clusters corrompus qui empêchent de monter le sytème de fichier. Nous allons donc utiliser l’utilitaire testdisk pour réparer les mauvais clusters.

La solution : testdisk

On installe testdisk:

sudo apt-get install testdisk

et on le lance :

sudo testdisk

Voici ensuite les étapes à suivre dans l’interface sommaire de testdisk :

  1. → Create a new log file
  2. [ choisir le disque qui correspond à la carte SD dans la liste ]
  3. → Intel/PC partition
  4. → Advanced
  5. [ choisir la partition ]
  6. → Boot
  7. → Repair FAT
  8. [ accepter la configuration par défaut et sélectionner Write]
  9. → appuyez sur (Q)uit jusqu’à sortir de l’application.

Et voilà! Quelques secondes plus tard la carte peut de nouveau être montée. Je précise que toutes les données présentes sur la carte avant l’opération sont toujours là, rien n’a été perdu.

A garder sous le coude au cas où cela recommencerait.

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Ubuntu : associer une clé bluetooth avec des enceintes bluetooth Novodio PureSound

Pour mon anniversaire, j’ai eu la bonne surprise de découvrir mon cadeau : des enceintes Bluetooth Novodio PureSound, pour écouter de la musique ou des podcasts dans le salon sans pour autant rester planté devant l’ordinateur du bureau.

J’ai récupéré une vieille clé bluetooth. Je la branche, elle est détectée instantanément sous Ubuntu sans avoir à installer de pilotes additionnels. Génial.

Etape 1 : installation des paquets bluetooth

Pour commencer, j’avais enlevé il y a quelques années tous les pilotes et applications relatifs à bluetooth, étant donné que je n’avais rien sur cette machine qui disposait de cette technologie.

Du coup, il me faut réinstaller le paquet gnome-bluetooth

sudo apt-get install gnome-bluetooth

Etape 2 : établir une connexion permanente

Mettez l’enceinte sous tension et appuyez sur le gros bouton broadcast au dos de l’appareil pour qu’il puisse être détecté.

On lance le scan des appareils Bluetooth à portée :

hcitool scan

Résultat:

Scanning ...
	DC:2C:26:10:09:8D	Novodio PureSound

Notre enceinte bluetooth Novodio PureSound est bien détectée. hcitool nous donne également son adresse MAC, que nous allons ajouter à notre configuration :

sudo nano /etc/bluetooth/hcid.conf

et on ajoute les informations relatives à notre enceinte :

device DC:2C:26:10:09:8D {
         name "Novodio PureSound"
         auth enable;
         encrypt enable;
 }

et on redémarre le service bluetooth

sudo service bluetooth start

Il existe une manière plus graphique d’ajouter l’enceinte : il suffit de cliquer sur Applications > Outils Système > Paramètres Systèmes > Bluetooth.

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WordPress : accorder les bonnes permissions aux fichiers et dossiers avec chown et chmod photo 2

WordPress : accorder les bonnes permissions aux fichiers et dossiers avec chown et chmod

Il est primordial d’accorder les bonnes permissions aux fichiers et dossiers d’un site sur un serveur web. Si ces permissions sont trop permissives, l’administrateur du site s’expose à la compromission du site, voire du serveur.

Sous WordPress, c’est la même chose : les fichiers et dossiers du site doivent avoir les bonnes permissions.

Le problème : des permissions trop larges

chmod-007-permis-executer-300

Sur le site, j’ai eu pendant trop longtemps un problème avec les fichiers et répertoires de thèmes ou de plugins.

Je m’explique : à chaque fois qu’un plugin voulait créer des fichiers (dans un répertoire /cache par exemple), la seule solution était de mettre les permissions de ce répertoire à 777, le mal absolu puisque cela permet au monde entier de lire, écrire et exécuter des fichiers dans ce dossier.

Pour les fichiers de thèmes éditables par WordPress, il fallait que leurs permissions soient à 666, ce qui là aussi posait un gros souci de sécurité.

Voici donc un tuto pour apprendre comment mettre les bonnes permissions à vos fichiers et dossiers pour votre site, qu’il tourne sous WordPress ou non.

Étape 1 : définir le bon propriétaire et groupe pour les fichiers

Les fichiers du site doivent appartenir au propriétaire et au groupe qui les fait tourner.

En règle générale; les serveurs de fichiers (comme Apache ou NginX) ont comme propriétaire www-data et comme groupe groupe www-data.

Dans mon cas, ayant installé les fichiers via SSH, les fichiers étaient détenus par l’utilisateur root. Je crée donc un nouvel utilisateur pour mon site:

adduser caddy www-data

Je vais donc assigner à l’utilisateur caddyet au groupe www-data la permission d’être propriétaire de mes fichiers, avec la commande chown.

Pensez à changer caddypour le nom de votre utilisateur web ou FTP.

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Linux : renommer des fichier en masse avec Thunar Bulk Renamer

Il peut être très utile d’avoir sous la main un petit utilitaire qui permet de renommer des fichiers en masse facilement.

Sous Linux, j’utilise l’outil Thunar Bulk Renamer (Thunar Renommer en masse en français) qui ressemble à ceci :

thunar-bulk-renamer

Thunar Renommer en masse

Thunar est un gestionnaire de fichiers puissant pour XFCE, dont les fonctions peuvent être étendues à l’aide de plugins.

Renommer en masse est un plugin qui permet de renommer toute une liste de fichiers très facilement, avec une interface simple et intuitive. Il permet de :

  • insérer et remplacer des noms de fichiers
  • insérer diverses manières de numéroter
  • rechercher, remplacer, supprimer des caractères
  • changer la casse

Installation de Thunar

Pour installer Thunar, il suffit de lancer :

sudo apt-get install thunar

Le raccourci vers l’application Thunar Bulk Renamer se trouve dans Applications > Outils Système > Renommer en masse.

Si le raccourci n’est pas créé, il suffit d’ajouter un nouveau raccourci sur le tableau de bord comme ceci :

1. clic droit sur le tableau de bord > ajouter au tableau de bord > lanceur d’application personnalisé

thunar-bulk-renamer-lanceur

2. entrez la commande suivante :

thunar --bulk-rename

3. choisissez une icône (engrampa.svg m’a semblée adéquate!) et validez.

Thunar Renommer en masse supporte aussi les expressions régulières (regex), c’est un vrai plaisir à utiliser (voir copie d’écran). Un vrai gain de temps également.

Et vous, qu’est-ce que vous utilisez pour renommer vos fichiers ?

Le logo VirtualBox d'Oracle, représentant un cube 3D avec les lettres VM, signifie ses capacités en tant que logiciel de virtualisation permettant aux utilisateurs d'exécuter plusieurs systèmes d'exploitation sur un seul ordinateur, y compris Linux.

Linux : installer VirtualBox via le PPA d’Oracle

J’ai toujours eu un peu de mal avec l’installation et la mise à jour de VirtualBox sous Linux. Il ne faut pas l’installer via les dépôts Ubuntu car ceux-ci deviennent vite obsolètes et ne seront proposées que les mises à jour de sécurité.

Il vaut donc mieux installer VirtualBox directement depuis Oracle, en installant d’abord le noyau linux, les entêtes du noyau et dkms pour éviter toutes les erreurs récurrentes au démarrage de l’application.

Voici ce que j’utilise désormais : tout est automatisé et ne prend que quelques secondes.

Etape 1 : installation des paquets pré-requis

On installe dkms et le noyau linux pour résoudre tous problèmes de dépendances ultérieurs :

sudo apt-get install build-essential dkms linux-source linux-headers-`uname -r`

Cela évite, entre autres, de tomber sur cette erreur lors du lancement d’une machine virtuelle :

Kernel driver not installed The VirtualBox Linux kernel driver (vboxdrv) is either not loaded or there is a permission problem with /dev/vboxdrv. Please reinstall the kernel module by executing
‘/etc/init.d/vboxdrv setup’
as root.

Etape 2 : installation de VirtualBox avec le PPA d’Oracle

Installation de VirtualBox en une seule commande :

echo "deb http://download.virtualbox.org/virtualbox/debian `lsb_release -sc` contrib" | sudo tee -a /etc/apt/sources.list.d/virtualbox.list && wget -q http://download.virtualbox.org/virtualbox/debian/oracle_vbox.asc -O- | sudo apt-key add - && sudo apt-get update && sudo apt-get install virtualbox-4.3

Avec cette commande, on télécharge la clé Oracle pour VirtualBox, on installe le dépôt de VirtualBox en fonction de notre version de Linux, on rafraichit la liste des paquets et on installe la dernière version de VirtualBox.

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Ubuntu : graver un disque blu-ray avec K3B photo 1

Ubuntu : graver un disque blu-ray avec K3B

Je viens de faire l’acquisition d’un graveur Blu-Ray, histoire de ne pas passer mon temps à découper le contenu de mes répertoires en dossiers de 4.38 Go. J’ai opté pour un graveur externe USB, de chez Samsung.

samsung-se506bb

Premiers essais

Déballage, branchement, insertion d’un blu-ray vierge : 30 secondes. Lancement d’une gravure de 45 Go : plantage de la gravure. Second essai en créant une image disque avant : plantage de la gravure. Troisième essai, je baisse la vitesse de gravure à 2x – plantage.

Installation de cdrtools

Brasero et K3B ne peuvent pas graver de blu-rays par défaut. Il faut leur ajouter cdrtools :

sudo add-apt-repository ppa:brandonsnider/cdrtools 

On met à jour les dépôts :

sudo apt-get update && sudo apt-get upgrade

et on installe les paquets cdrecord et mkisofs :

sudo apt-get install cdrecord mkisofs

L’installation de cdrecord et mkisofs va supprimer deux paquets existants (genisoimage et wodim) et nous permettre de graver des BD sans erreurs.

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403-error

Des images qui renvoient une erreur 403

Aujourd’hui, j’édite un ancien article et le prévisualise pour voir les changements : je m’aperçois alors que l’image de l’article ne s’affiche plus.

Ni une ni deux, je sors mon terminal et tente de récupérer l’image avec wget. Erreur 403. Je vérifie la configuration Apache et Varnish, rien à signaler (et surtout rien n’avait été modifié).

Je vérifie alors le fichier via FTP : il se trouve qu’il ne possédait pas les bons droits!

Evidemment, avec un chmod 600, cela ne risque pas de s’afficher… Les autres images, celles qui s’affichaient bien et renvoyaient un code 200, étaient bien chmodées en 644.

Solution : CHMOD

Il faut donc chmoder l’ensemble des fichiers du répertoires, 640 pour les images ce sera parfait :

find /home/public_html/wp-content/uploads -type f -exec chmod 640 {} \;

et pour les répertoires, 750 c’est correct :

find /home/public_html/wp-content/uploads -type d -exec chmod 750 {} \;

Notez la différence de syntaxe : on utilise f pour les fichiers (files) et d pour les répertoires (directory).