High Tone - Rub-A-Dub Anthem (feat. Pupa Jim) photo

High Tone – Rub-A-Dub Anthem (feat. Pupa Jim)

High Tone est un groupe lyonnais de dub, créé en 1997 à Lyon sur les pentes de la Croix Rousse et mélange bon nombre d’influences musicales : dub jamaïcain des années 1970, hip-hop, jungle, drum and bass, techno, sonorités orientales.

High Tone sort son premier maxi 45T Bot Bud Season en 1998. Il sera suivi en 1999 par Low Tone, nouveau maxi 4 titres également édité en CD qui servira de promo.

En 2000 sort le premier véritable album du groupe, Opus Incertum. High Tone, avec les groupes Improvisators Dub ou Zenzile s’inscrit comme représentant d’un nouveau style de dub, porté sur la fusion et l’expérimentation sonore.

Voici Rub-A-Dub Anthem, à retrouver sur l’album Out Back (2010) :

Pour toutes les compositions, les 5 musiciens du groupe se réunissent dans un local où un MiniDisc tourne en permanence afin de capter les bons moments musicaux de la journée.

Puis vient le travail de réécoute et de sélection de passages qui semblent intéressants. Enfin la création finale du morceau se fait en répétition ou sur un ordinateur, seul ou à plusieurs selon les cas.

La musique parfaite pour passer un été tranquille !

La Croatie : Trogir photo

La Croatie : Trogir

Le lendemain, c’est le grand départ. Notre voyage commence à toucher à sa fin et nous décidons de passer les deux derniers jours qui nous restent à Trogir : la vieille ville est classée au patrimoine de l’Unesco et l’aéroport se trouve à quelques kilomètres. nous prenons le bus pour rejoindre Split puis Trogir.

Cela fait 6 heures de bus donc bon, il va falloir s’accrocher. Dur de devoir rester prostré dans un siège alors que nous marchons tous les jours au grand air !

Nous avons acheté nos billets sur Internet le jour d’avant pour être sûr d’avoir une place. Cécile se présente au chauffeur qui lui intime l’ordre de mettre son sac à dos dans la soute du car, non sans lui lancer un froid mais impérieux “ten kunas!”.

Hé oui, pour mettre son sac dans la soute, il faut graisser la patte des chauffeurs, en liquide et le prix est un peu à la tête du client !

Nous quittons donc Dubrovnik en bus pour rejoindre Trogir, en 6 heures. Le car sillonne des petits villages ce qui nous permet de découvrir un nouveau visage, plus montagnard, du pays. Le contrôleur du car vérifie les tickets de l’ensemble des voyageurs.

L’un de nos voisins, touriste comme nous, semble avoir commis une erreur dans la date de son billet, qui n’est donc pas valide. Ni une, ni deux, le contrôleur arrête le chauffeur, laisse le pauvre touriste au beau milieu de nulle part et repart illico. Nous restons interdits.

Au cours de notre périple, nous traversons aussi la Bosnie-Herzégovine, théâtre d’une anecdote qui fait encore rire Matt aujourd’hui: Cécile, le matin du départ, a déposé son sac à dos dans la soute du car, dans lequel elle a laissé (mais pourquoi ???) tous ses papiers et sa carte d’identité.

Lire la suite

La Croatie : Dubrovnik ou la citadelle de King's Landing photo 18

La Croatie : Dubrovnik ou la citadelle de King’s Landing (Game of Thrones)

Nous débarquons à Dubrovnik vers 23 heures et attrapons l’un des derniers bus qui va du port vers la citadelle de Dubrovnik où nous avons réservé notre chambre d’hôte.

Douze jours en Croatie : Dubrovnik ou la citadelle de King's Landing photo

Le retour à la civilisation se fait dans le bus et c’est plutôt rude : nous sommes dans un bus bondé, où se côtoient les petites vieilles locales et un groupe d’anglaises complètement déjantées, vociférant de manière alcoolisée avant leur arrivée fracassante dans l’une des boites de nuit de la ville.

Notre logeur, Sergio, nous attend à l’entrée de la citadelle et nous informe tout en marchant qu’il y a un problème avec notre réservation et que nous allons passer la première nuit dans un autre logement.

C’est un peu étrange de suivre quelqu’un qui nous emmène on ne sait où, dans de petites ruelles pavées, en tournant un coup à gauche, un coup à droite et en marchant comme des cosaques alors que la nuit est tombée depuis belle lurette.

Nous arrivons dans la cour de ce qui semble être une ferme, ce qui semble tout à fait surréaliste. J’ai pensé au film Hostel mais je n’ai rien dit à Cécile pour ne pas l’effrayer.

Lire la suite