Desperate Housewives : saison 2 lancée !

Non !!! Ne me dîtes pas que mes amis américains ont oublié de me prévenir ! La saison 2 de Desperate Housewives a déjà commencé!

Heureusement qu’ils ont pensé à enregistrer les 4 premiers épisodes qui sont déjà sortis, maintenant il faudrait qu’ils pensent à me les poster (tu la vois bien l’allusion là non ?! ;-)).

Je vais vous dire, cela m’a fait un choc de voir que j’étais à la bourre : j’étais tranquillement en train de vérifier mes favoris pour les mettre à jour lorsque j’ai découvert le lancement de cette fameuse saison 2 que nous autres anglicistes attendions avec la plus grande impatience.

Après le choc vint l’excitation de pouvoir enfin voir la suite de la série que nous avions délaissé en mai/juin si je me souviens bien. On a dû finir cela juste avant le CAPES.

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Les clés de bagnole

Le post d’aujourd’hui n’a pas grand chose à voir avec la bouse éponyme de Baffie mais le thème reste similaire.

J’ai passé l’après-midi à chercher mon trousseau de clés, sur lequel se trouvent les clés de mes salles de classe, mes clés de voiture ainsi que les clés de mon appartement.

Autant dire que lorsque le fameux trousseau est introuvable, je suis dans de beaux draps, la perspective de devoir dormir à l’école ne me tentant que très moyennement…

Mais commençons l’histoire par le commencement : j’arrive à l’école, dépose mes affaires et mes clés sur une des tables de la salle des professeurs.

Je discute avec quelques collègues puis prend mon cartable pour aller discuter avec mon tuteur de mes préparations de cours et du fonctionnement du Conseil d’Administration (CA) de l’établissement.

Ayant les mains pleines, je décide alors de laisser mes clés sur la table des profs. Une fois la concertation terminée, je retourne alors dans la salle des profs où je trouve la table vide.

Moment d’incompréhension : n’avais-je point laissé mes clés sur cette table ?! Je regarde alors dans mon cartable puis dans mon blouson. L’incompréhension se transforme alors en panique : plus de clés ! Comment vais-je bien pouvoir retourner chez moi ?

Une idée me traverse comme une flèche : et si c’était un coup de Jean ? Il avait lorgné sur mes clés la semaine dernière lorsqu’elles traînaient (déjà) au même endroit. Je me mets alors à sa recherche et une fois trouvé il m’apprend qu’il n’a touché à aucun trousseau. God dammit ! Ma panique se transforme alors en colère noire. La cloche sonne, j’ai un cours à donner et je n’ai toujours pas mes clés.

Le cours passé, je me jette comme une furie dans la salle des professeurs, bien décidé à trouver le coupable kleptomane. Je fais une annonce publique, demandant à tous mes collègues de regarder qu’ils n’ont pas embraqué le maudit trousseau dans leurs affaires.

On me conseille alors d’aller dans la salle fumeur, l’un des profs de maths ayant des tendances klepto notoires. J’ouvre la porte et reconnaît instantanément les barrettes de métal m’assurant du retour au bercail tant attendu.

Je lève lentement les yeux vers le prof de maths qui me lance d’un ton décontracté, cigarette aux lèvres :

– “Tu sais à qui elles sont ces clés ?”
– “Un peu mon neveu, ça fait deux heures que je coure pour trouver le petit ?!#2& qui me les a chouravé !”
– “ah bon ? je les ai trouvées près de la photocopieuse.”

Cela m’aura appris une chose : il faut tout mucher quand tu rentres dans la salle des profs. Tout ce qui n’entre pas dans le casier doit rester dans le cartable. Surtout les clés.

Record de la semaine : 983 kilomètres avec un plein de gazole – et la petite loupiote rouge ne s’était même pas allumée. Je crois que c’est la première fois que je fais autant de kilomètres avec un plein. Les routes vendéennes seraient-elles plus adaptées à ma voiture ? ^_^

Faille temporelle du dimanche au lundi

Je suis depuis peu le témoin d’un étrange phénomène : ma montre perd deux heures dans la nuit de dimanche à lundi lorsque je dors à Nantes. J’ai d’abord cru à une défaillance de ma montre lorsque cela est arrivé pour la première fois la semaine dernière. Or une fois réglée, elle a fonctionné comme une horloge suisse toute la semaine jusqu’il y a deux jours où la même chose s’est reproduite.

De là à tirer une conclusion un peu fantastique, il n’y a qu’un pas que je me fais fort de franchir : ma montre est un modèle automatique qui se remonte grâce aux mouvements du poignet et qui ne nécessite donc aucune pile – le quartz étant très mauvais pour la santé. Comment expliquer alors cette perte de temps qui s’élève à deux heures à chaque fois ? Pour l’instant, je n’ai pas encore de piste mais je ne désespère pas de trouver le fin mot de l’histoire. D’après mes calculs, la perte de temps se produit entre 23h et 6h du matin, heure à laquelle ma montre indique alors 4h du matin.

Et si j’appartenais à la quatrième dimension pendant ce laps de temps ? Se pourrait-il que le continuum espace-temps s’interrompe toutes les semaines pendant quelques heures seulement dans ma chambre à Nantes ?