Visite du RGR en décembre

Allez, c’est officiel : mon responsable de groupe de référence (RGR comme on l’appelle affectueusement) vient me rendre une petite visite de courtoisie dans exactement deux semaines.

J’ai déjà briefé mes élèves sur sa visite, il ne reste plus qu’à aller brûler un cierge pour que tout roule comme sur les roulettes prévues. Keep your fingers crossed people !

Le plus ironique, c’est que comme personne n’a osé lui demandé quand il comptait venir, c’est moi qui me suis lancé et qui lui ai posé la question.

Et comme par hasard, c’est moi qui suis inspecté en premier, à 8h du mat’. Cela m’apprendra à vouloir m’impliquer ! Trop bon, trop…

Mais bon, cela ne sert à rien de baliser : de toute façon cela ressemble plus à une visite de courtoisie qu’autre chose – l’essentiel de la note du stage est assurée par les tuteurs.

Allez, avouons-le, j’ai tout de même une petite appréhension ;-)

Les 4 chevaliers de sortie

Les 4 chevaliers ! ;op Dans une équipe, il y a ceux qui assurent et ceux qui craignent. Nous, on assure. A fond les marrons d’ailleurs, ce qui nous vaut parfois le regard exaspéré mais toujours rigolard de notre expert psychologue. Et à l’IUFM, on s’est créé un bon petit groupe de quatre (par ordre alphabétique : Arnaud, Arthur, Ben et moi-même), genre ‘fous-fous la galette’ qui n’arrêtent pas de faire les 400 coups, au grand dam de ceux qui viennent d’autres sections. Il faut aussi avouer lorsque certains connaissent les dialogues de Pulp Fiction par coeur, cela laisse des traces… you bad motherfuxx0r ! Et pour marquer le coup, nous nous sommes donnés rendez-vous vendredi soir pour un petit restau (pizzeria en fait) très sympa où je me suis régalé avec ma dame blanche… mais je m’égare. Après le restaurant vint (pun!) le bar où nous avons fini la soirée : Guinness et Desperados au menu, accompagnés de toutes les réflexions qu’on ne peut pas faire en classe par manque de temps ou d’à propos.

Et bien cela faisait bien longtemps qu’on ne s’était pas retrouvé comme ça en groupe avec des potes d’études. Cela change du tout au tout avec la première année d’IUFM où tout le monde s’ignore les yeux baissés et la tête dans les bouquins. Là je me sens revivre. Encore un petit chouillas de délire et je vais me croire replongé en 1ère/Terminale ! On pourrait se demander comment attendre de nos élèves concentration et tenue en classe lorsque nous faisons pire parfois ? Bon sujet de réflexion ça ! ;-)

Two businessmen fighting over a link to prevent image theft.

Apache : prévenir le vol d’images par hotlinking

GhostBuster

J’ai récemment eu affaire à des voleurs de contenu et après avoir contacté le service des abus de MSN, j’ai reçue une réponse pré-formattée comme quoi il fallait que j’envoie tous les justificatifs et tous les détails prouvant mon identité à Microsoft par courrier postal.

Mais bien sûr… et la marmotte…

Étant donné que je n’allais recevoir aucune aide de leur part, j’ai retroussé mes manches et me suis appliqué à trouver une solution.

Qu’est-ce que le hotlinking des images ?

Le hotlinking des images, parfois appelé “leeching”, “piggy-backing” ou “inline linking”, est une pratique qui consiste à intégrer une image sur un site web en utilisant une URL directe qui charge l’image à partir du serveur d’un autre site. Cela signifie que chaque fois que la page est chargée, l’image est téléchargée depuis le serveur externe, non pas celui sur lequel réside la page web.

Cette méthode peut sembler pratique pour économiser de l’espace de stockage ou éviter le téléchargement et le rechargement d’images. Cependant, elle a plusieurs conséquences négatives, tant pour le site qui héberge l’image que pour celui qui l’intègre.

  1. Consommation de bande passante : Le principal inconvénient du hotlinking est qu’il consomme la bande passante du site hébergeant l’image sans lui apporter de trafic direct. Ceci peut entraîner des coûts supplémentaires pour le propriétaire du serveur, surtout si son site est populaire ou si l’image devient virale.
  2. Problèmes de performance : Si plusieurs sites hotlinkent une image d’un même serveur, cela peut ralentir significativement la vitesse de chargement du site hébergeant l’image, impactant ainsi l’expérience utilisateur sur ce site.
  3. Perte de contrôle sur le contenu : Le propriétaire du site hébergeant l’image perd le contrôle sur où et comment son image est utilisée. Cela peut poser des problèmes de droits d’auteur et d’image de marque.
  4. Problèmes de référencement : Les moteurs de recherche peuvent pénaliser les sites qui pratiquent le hotlinking, car cela peut être interprété comme du contenu dupliqué ou une pratique malveillante.

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