Virginia Woolf, a pioneer in the literary world, was deeply engrossed in the exploration of innovative narrative techniques. Her novels, celebrated as groundbreaking masterpieces, introduced avant-garde forms of fiction, charting new territories previously untraversed.
These works boldly shattered the conventional moulds of storytelling, distancing themselves from the well-trodden paths of the Victorian (1837-1901) and Edwardian (1901-1910) eras. Woolf’s narrative experimentation was a declaration of independence from the narrative norms of these ancient ages, heralding a new era in the art of novel writing.
The First World War was a trauma and brought out a crisis. A break is always prepared, the main innovators were Thomas Hardy and Joseph Conrad.
Woolf belongs to an aesthetic movement called the Modernist Novel. “Mrs Dalloway” was published in 1925, which was the year hinging the middle of her career: at the beginning of her career, she was rather traditional (Edwardian) but at the end, “The Waves” is a lyrical fiction, a long and unconventional narrative poem.
“Mrs Dalloway” is still in its shape and structure a novel but at the same time, few clues can be found that point out what Woolf will carry further afterwards.
Voici la fiche méthode pour faciliter l’étude d’un texte poétique, avec un rappel des principaux éléments constitutifs d’un poème.
Qu’est-ce qu’un vers ?
Le début du vers est marqué par une majuscule. La fin du vers est marquée par un retour à la ligne. Le vers (contrairement à la phrase en prose) n’occupe pas forcément toute la ligne, et on peut donc trouver un espace blanc à la fin du vers.
Remarque : si le vers dépasse la ligne, alors la fin du vers ne s’aligne pas sur la marge de gauche dans la poésie classique (jusqu’au XIXe siècle), comme en prose, mais sur la marge de droite, après un crochet.
Présentation du poème
1. Les groupes de vers qui composent un poème s’appellent des strophes. Il n’y a pas d’alinéa (contrairement à la marque de début de paragraphe en prose).
2. On donne des noms aux strophes selon le nombre de vers qui les composent :
2 vers : un distique
3 vers : un tercet
4 vers : un quatrain
5 vers : un quintil
6 vers : un sizain
Un vers isolé est mis en relief.
3. Les vers sont composés de syllabes.
On nomme les vers selon le nombre de syllabes qui les composent :
un alexandrin = 12 syllabes Oh ! Combien de marins, combien de capitaines
un octosyllabe = 8 syllabes Elle a passé, la jeune fille
un décasyllabe = 10 syllabes
Pour compter correctement le nombre de syllabes, il faut observer certaines règles :
le -e muet en fin de vers ne compte pas (il n’est d’ailleurs pas prononcé).
le -e muet suivi d’un son vocalique ne compte pas.
le -e muet suivi d’un son consonantique compte. Décompte des -e : Par la Natur(e), -heureux comm(e) avec une femm(e) (Sensation de Rimbaud)
le poète peut faire prononcer en deux sons ce qu’habituellement on ne prononce qu’en un seul : c’est une diérèse. Exemple : “Un bohémi-en”.
Jusqu’au XIXe siècle, la poésie était en vers. Au XIXe siècle, les poètes se sont libérés des contraintes portant sur la forme du poème : c’est l’invention du vers libre. La poésie peut alors prendre l’apparence de la prose.
Les rimes
La rime, c’est la répétition de sons identiques à la fin de plusieurs vers. On désigne par des lettres chaque rime différente : a, b, c…
campagne / montagne : rime féminine (se terminant visuellement par un -e muet, donc non prononcé)
attends / longtemps : rime masculine (se terminant visuellement par toute autre lettre qu’un -e muet)
La poésie classique fait alterner les rimes masculines et féminines. La poésie moderne préfère distinguer les rimes à terminaison consonantique et les rimes à terminaison vocalique.
Les autres effets de sonorité
Les reprises de mots ou de groupes de mots créent un effet de sonorité et de rythme. (Une reprise en début de vers ou de strophe se nomme une anaphore.)
Les reprises de sons à l’intérieur des vers, dans des mots différents mais proches :
Son vocalique : une assonance. “Je fais souvent ce rêve étrange et pénétrant” (Verlaine)
Son consonantique : une allitération. “Pour qui sont ces serpents qui sifflent sur vos têtes ?” (Racine)
Le rythme
Il faut marquer les pauses au bon endroit et pour cela, repérer les mots qui forment un groupe cohérent.
Characters are a finished product. Characterization is the technique of production of the characters, it reflects the way of thinking.
Goldsmith was not only a novelist but also a playwright: he wrote “The Good Natur’d Man” (1768) and “She Stoops to Conquer” (1773). When he wrote “The Vicar of Wakefield”, Goldsmith was testing through fiction characters who were to become perfectible on stage. Full-fledged characters are fleshed-out characters. Fiction writing was for him a draft for theatre, that’s the reason why there are so many references to theatre in the text.
“All the same flesh and blood” (p. 10)
All of the characters are connected through the family.
The family circle
Being a vicar, Primrose reminds his reader that all mankind makes up a large family. Characters are defined through kinship (family relationships). For instance, the Primroses form the typical family structure of the 18th century:
the father is at the centre (patriarchal model)
the eldest son is favoured (primogeniture)
gender roles are well-differentiated (p. 45)
The patronym is Primrose: it is a forerunner of the end of the story. To be “prim” is to behave well and to be easily shocked. The “rose” is a flower, the symbol of England. “Rose” is also the preterit from “to rise”, indicating social elevation.
Throughout the novel, the reader comes across characters who are connected by family ties. Yet, in the denouement, the already existing family bonds are strengthened: In the end, the Primrose family find themselves united to the Wilmots (through George’s wedding) and to the Thornhills (through Sophia’s wedding, and through Olivia’s wedding that proves to have been genuine after all).