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Nouveau serveur dédié : migration vers ORION

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La nébuleuse d’Orion, prise par Hubble.

Vous lisez actuellement cet article depuis le nouveau serveur de SkyMinds, baptisé ORION.

De mail à ORION

Le serveur précédent a été le théâtre d’une multitude de tutoriels consacrés à la série Monter un serveur dédié de A à Z, tournait sous Debian (6, 7, 8, et 9) mais était un peu limité en termes de ressources (Intel Core2 Quad Q8300 @ 2.50GHz, 4 Go de RAM, 750 Go de disque). Tant qu’il n’y avait qu’un seul site à gérer, cela convenait mais avec près d’une dizaine de sites, on touchait les limites.

ORION est bien plus confortable : Intel Xeon W3530 @ 2.80GHz, 32 Go de RAM, 2 To de disque en RAID). De quoi pouvoir monter en charge tranquillement :)

Du changement dans notre stack

Qui dit nouveau serveur, dit refonte de la stack. Vu que nous partons d’un environnement vierge, autant partir du bon pied et utiliser toutes les dernières innovations. Le serveur précédent datait de 2012 et, même s’il tournait parfaitement, il a connu pas mal de mises à jour (parfois pas très stables).

J’ai donc décidé de changer d’OS pour ORION : même si j’adore travailler sous Debian, je me suis dit que j’allais tenter Ubuntu Server 18.04 LTS. Certains tutoriels ne sont pas exactement équivalents entre Debian et Ubuntu Server donc cela promet quelques nouveaux tutoriels !

Objectif performance

Le but du nouveau serveur est d’être un peu plus à l’aise au niveau des ressources, surtout si les sites lancés récemment prennent de l’ampleur. Cela donne également un peu plus d’oxygène au serveur de bases de données.

L’autre objectif est un objectif de performance : monter un serveur dédié de manière simple et efficace, en privilégiant la sécurité et la rapidité des sites hébergés.

Voilà, c’est tout pour la note de service. Les tutoriels sont en cours d’écriture, donc bientôt disponibles sur le site !

Désactiver les binary logs sous MySQL 8 photo

Désactiver les binary logs sous MySQL 8

mysql 8

J’ai récemment monté un nouveau serveur qui utilise MySQL 8 et après quelques jours d’utilisation, je me suis rendu compte que l’espace disque avait considérablement augmenté.

La cause ? Une multitude de fichiers logs binaires dans le répertoire d’exécution de MySQL 8 : il y en avait pour plus de 260 Go !

Les fichiers logs binaires enregistrent toutes les requêtes qui ont été effectuées par le serveur de bases de données. Inutile de dire qu’il est assez improbable que vous cherchiez à savoir quelles requêtes ont été lancées le mois dernier!

Désactivation des logs binaires

Sous MySQL 8, voici comment désactiver les logs binaires : éditez le fichier de configuration de MySQL:

nano /etc/mysql/mysql.conf.d/mysqld.cnf

et ajoutez cette ligne sous [mysqld] :

skip-log-bin

Vous pouvez également vous connecter au serveur MySQL en ligne de commande:

mysql -u root -p

et lancer la commande suivante dans l’invite de commande MySQL:

SET sql_log_bin = 0;
PURGE BINARY LOGS BEFORE '2019-03-31';Code language: JavaScript (javascript)

Relancez ensuite le serveur MySQL:

service mysql restart

Il ne vous reste plus qu’à vous rendre dans le dossier d’exécution de MySQL – /etc/mysql par défaut, sauf si vous l’avez modifié – et supprimer les fichiers binlog*.

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Zelienople – The World Is A House On Fire

Les chansons de Zelienople, basé à Chicago, hantent et s’écoulent librement, leurs paysages sonores cinématiques étant très développés grâce à l’utilisation d’enregistrements de terrain, de percussions de forme libre et de rebondissements structurels non conventionnels.

Leur approche a été qualifiée de «pop doom», avec son interprétation hantée et spacieuse d’Americana. Le trio composé de Mike Weis (percussions), Matt Christensen (chant, guitare) et Brian Harding (basse, saxophone) ont déjà amassé un auditoire dédié qui devrait grandir avec la sortie de leur album, The World Is A House On Fire.

La voix de Christensen résonne comme celle d’un moine dans un sanctuaire, avec des éclats monophoniques occasionnels renforcés par sa voix résonnante.

The World Is A House On Fire est un bon album planant et mélancolique.