Impressionnant ce que l’on peut faire lorsque l’on maîtrise Photoshop.
Et dire que quasiment tous les magazines ont recours à cela – notre vision de la réalité doit être bien faussée.
Tous les articles généralistes du blog, qui sont souvent plus personnels.
Impressionnant ce que l’on peut faire lorsque l’on maîtrise Photoshop.
Et dire que quasiment tous les magazines ont recours à cela – notre vision de la réalité doit être bien faussée.
A chaque fois que je prends le train, j’observe les mêmes situations, les mêmes causes ayant souvent les mêmes effets.
Ayant épuisé ma carte 12-25 à voyager aux quatre coins de la France, j’en arrive à édicter les quelques lois qui régissent le transport ferroviaire des personnes avec notre entreprise nationale.
Je regroupe toutes ces observations sous la dénomination suivante : la malédiction SNCF.
La malédiction SNCF, c’est d’abord l’emplacement des sièges. Quoi que je fasse – que je prenne mon billet un mois avant le voyage ou 3 minutes avant le départ du train dans une borne automatique, je me retrouve toujours… dans le carré !
C’est à dire en vis-à-vis avec d’autres personnes (une à côté, deux en face), au lieu de la configuration classique à deux style autobus.
Ce week-end, deux collègues du collège ont organisé la première soirée P.R.O.F.S de l’année, dans un restaurant basque, La Peña Festayre, situé sur le parvis de la Cité des Sciences de La Villette.
Le restaurant vaut le coup d’oeil : on se croirait dans une feria avec ces longues tables en bois, capables d’accueillir une trentaine de personnes bien serrées les unes contre les autres dans un bon esprit de camaraderie.
Arrivés les premiers, nous nous sommes installés au bon endroit : ni trop au centre, ni trop en bout de table. Du coup on a pu participer à toutes les discussions importantes, ce qui était plutôt pas mal.
Carton rouge à celles et ceux qui n’ont pas pu s’empêcher de parler boulot à table ! C’est l’un des rares moments où l’on se réunit et où l’on peut parler d’autre chose que du collège et ils n’en profitent même pas… Franchement, il y a des baffes qui se perdent.
Au menu : foie gras en entrée, grillades avec moultes pommes de terre et mi-cuit en dessert. Ayant fini notre plateau assez vite, ceux qui n’ont pas touché au leur ont fait tourner : devinez qui a mangé deux fois ? Pareil pour le dessert – nous nous en sommes chargés sans problèmes. Nous avons fait de même avec les quelques Ricards et pichets de sangria.
Arrivés à 20h, nous avons quitté la soirée vers 1h du matin, méchamment allumés il faut bien l’avouer. J’avais bien du mal à marcher droit et heureusement que nous avions un chauffeur. Super soirée, on ne s’est pas ennuyé un seul moment. Mieux vaut une soirée courte mais intense qu’une plus longue où l’on se demande ce qu’on y fait…
Ah, j’oubliais. On m’a promis une semaine douloureuse à cause des nombreuses photos qui ont été prises lors de la soirée. Ma réputation risque d’en prendre un petit coup au passage je crois !
Il y a eu pas mal de changements sur le site depuis quelques jours et même s’ils sont invisibles à l’oeil nu, il y a eu des ajouts progressifs de fonctionnalités importantes qui peuvent vous faciliter la navigation.
Tout d’abord, un nuage de tags a été ajouté dans la barre de droite. Cela peut permettre de retrouver des articles par mots-clés, qui sont souvent plus “parlant” que le nom des catégories.
Un hommage aux campus américains et leur parties (panties ?) arrosées.
Kegs, beer pongs and thighs sont à l’honneur dans cette reprise étudiante du Bohemian Rhapsody de Queen intitulée pour l’occasion Brohemian Rhapsody :
La télé-médecine contribue indirectement à un nouveau niveau de réalité dans l’histoire des jeux-vidéo : TN Games vient de commercialiser une veste, appelée 3rd Space, qui vous permet de ressentir physiquement la force du feu ennemi grâce à des compresseurs à air et des cellules pneumatiques localisés un peu partout sur le torse et le dos. Vous saurez donc ce que cela fait vraiment de sentir les impacts de balles dans vos FPS !
Imaginée à l’origine par Mark Ombrellaro et son équipe de la Texas Tech University dans un but de télémédecine, l’idée a été de lui trouver d’autres applications possibles, dont le jeu. “La veste porte en elle un message subtil qui montre qu’il y a des conséquences quand on tire sur des gens”, se justifie le concepteur du système. Idéal pour les forces de police pour s’entraîner et tester les conséquences d’un tir de flashball par exemple. La veste est en vente pour 170 dollars (environ 120 euros).
Je crois que cela me ferait assez plaisir de l’essayer ! (via)
Je viens de tomber sur cette vidéo en traînant sur YouTube : il s’agit d’une vidéo tournée en 1966-1967 par la Philco-Ford Corporation et qui ressemble furieusement à une prédiction de ce que serait l’ordinateur individuel en 1999. Voyez plutôt :
Voilà à quoi pourrait ressembler une hotline maintenue par des geeks !
Très bien fait. Le plus drôle réside dans le dialogue : la seule chose pertinente est le détail de la connexion internet, le reste n’a ni queue ni tête – plongeant dans des élucubrations totalement farfelues, visant à déstabiliser l’appelant avec une surcharge de mots et de concepts obscurs pour le commun des mortels.
Et on accentue encore plus le stéréotype du geek, cet adolescent boutonneux quelque peu attardé socialement, à la limite du savant fou.
Si vous lisez SkyMinds.Net régulièrement et que vous me connaissez un tant soit peu, vous savez déjà que j’abhorre ce que l’on appelle les “réseaux sociaux”.
Soulignons d’abord l’oxymore : un réseau n’est-il pas par définition social ? Je supprime donc silencieusement toutes les friend requests Facebook, Hi5 ou autres : des bons potes, on n’en a pas cinquante alors à quoi bon dresser une liste d’amis virtuels avec qui on n’a jamais vraiment parlé ?
Last.fm est d’un autre genre. Déjà il ne propose pas d’ajouter des amis pour le plaisir, c’est un site qui permet de recenser tous les artistes que vous écoutez grâce à un petit plugin qui se greffe de manière entièrement transparente à votre lecteur audio. Idéal pour créer votre profil musical !
Les jeux classiques n’ont pas tellement évolué au fil du temps. Si l’on prend par exmple le jeu de dame, le jeu de l’oie, les billes ou encore les échecs, on se rend compte que ces jeux ont des centaines d’années et passionnent encore les foules pas mal de monde. Les choses se compliquent un peu avec les jeux vidéos : les jeux du début des années 1990, en deux dimensions (2D) ont vieilli très vite et nul ne songerait aujourd’hui à ressortir leurs vieilles disquettes ou cartouches pour y jouer. A moins d’être un brin nostalgique…
Voici donc un petit aperçu de l’évolution des jeux vidéos :
Je viens d’apprendre par mon père que Robert Jordan, né James Oliver Rigney Jr, célèbre écrivain d’heroic fantasy nous a quitté le dimanche 16 septembre 2007 à l’âge de 58 ans.
En mars 2006, Robert Jordan avait expliqué que les médecins avait diagnostiqué chez lui une amyloïdose, une maladie du sang qui touche 8 personnes sur un million chaque année.
Depuis, son état semblait stationnaire, voire en amélioration.
Il laisse inachevé son gigantesque cycle de La Roue du Temps (The Wheel of Time), dont le premier volume était paru en 1990. Il travaillait sur le douzième et dernier tome de la saga, A Memory of Light, un roman qui, une fois terminé, aurait dû s’étaler sur près de 2 000 pages.
Robert Jordan vivait à Charleston, en Caroline du Sud et j’avais eu le grand plaisir de le rencontrer dans une petite librairie de Melbourne et de discuter avec lui de l’évolution des personnages de la Roue du Temps. J
‘ai toujours sa dédicace, signée au dos d’une carte postale à l’effigie d’un platypus, accrochée sur le mur de ma chambre à Nantes.
Nous n’aurons donc pas la fin de l’aventure… à moins que ses derniers écrits ne soient publiés un jour ?
Les télémarketeurs trouvent toujours le moyen de vous déranger alors que vous rentrez du boulot au terme d’une journée harassante ?
Cela pourra peut-être vous intéresser : il s’agit d’une petite astuce pour s’amuser un peu aux dépends de l’importun :